• La médecine s’est dégagée assez tôt de la magie, et s’est constituée en science indépendante à côté d’elle. Les maladies étaient attribuées à la présence de démons malfaisant dans le corps des malades, la médecine s’occupait de soigner le corps. La médecine était déjà fort avancée vers la fin du III millénaire : utilisation d’onguents et de filtrats, de nombreuses plantes, substances animales et minéraux.

    La médecine mésopotamienne a eu comme principal défaut d'être incapable d'éliminer toutes les considérations religieuses qui l'ont empêché de progresser réellement. L'exorcisme est une pratique qui nous parait plus folklorique qu'autre chose, et il est probable que ses résultats aient été assez faibles, sans parler du fait qu'elle a empêché les Mésopotamiens de pouvoir franchir le pallier nécessaire pour faire progresser leurs connaissances médicales. De ce fait, la médecine de ce pays fut moins élaborée que la médecine égyptienne contemporaine malgré certains aspects assez intéressants et témoignant de l'intelligences des médecins de la Mésopotamie, certains d'entre eux ayant fait parti des plus efficaces de leur temps dans tout le monde antique. La médecine grecque, grâce à des hommes brillants tel qu'Hypocrate, a elle su parfaitement utiliser les connaissances héritées de ses predécesseurs pour atteindre un niveau d'efficacité et a ainsi réussi à révolutionner cette science.

    Des avances récentes dans la recherche sur l' ADN ont établi qu'il y avait une "EVE" qui a vécu il y a environ 250 à 270 milles ans, une première mère de l'humanité moderne, peu importe que l'héritage racial. En 1987, les scientifiques des Universités de la Californie et le Michigan ont annoncé que tous les humains sont descendent d'une "EVE" mitochondrial simple : qui aurait vécu en Afrique. Quelques années plus tard la science nous aprendra qu'il y avait aussi un "ADAM" réel. Finalement, des avances génétiques ont fait des bébés-éprouvettes possibles en mélangeant le sperme masculin avec des oeufs feminin en les réimplantant.
     


    La connaissance, que nous avons acquis corrobore ce que le Sumeriens connaissait il y a six mille ans. Le symbole des serpents entrelacés, que nous employons toujours aujourd'hui pour représenter la médecine et la guérison, la biologie, existe depuis 6000 ans. C'est le symbole du dieu "Inkishzidda". Ce symbole est aussi celui de l'ADN, la spirale double de l' ADN !
    La représentation du dieu sumérien "Ninkishzidda" représente deux serpents entrelacés et l'échelle semblable à des rubans entre les corps de serpents. Découverte par la science moderne, la structure de spirale double d'ADN est qussi le symbole des "Serpents entrelacés" sumèriens, qui ont imité la structure du code génétique, dont la connaissance "secrète" auarait permis la création d' "ADAM", le premier homme que les "Annunakiens" ont créés, selon le mythe...

    Qui était les "Annunakiens" et d'où venaient ils ? Le Sumeriens on dit : "Ils sont venus de Nibiru". Et sur Nibiru les smumériens on dit: "C'est encore une planète de notre système solaire".
     

    En 1973, le Prix Nobel Francis Crick qui avait codécouvert la structure de l'ADN, émettait l'hypothèse que "la vie sur la terre émanait peut-être d'organismes venant d'une planète lointaine". Les anthropologues n'arrivent toujours pas à faire le lien entre notre race et ses plus proches parents, les "simiens". Il y a environ 300.000 ans, après un demi-million d'années d'évolutions minimes, l'homo erectus se transforma alors soudainement en homo sapiens, se caractérisant par une augmentation de 50 % de la capacité de la boîte crânienne, et cela sans explications sur la rapidité de la transformation.


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