• Beaucoup de récits liés au loup-garou prennent leurs racines dans la réalité. La difficulté est surtout de faire la part entre les faits réels et les affabulations.
    Histoire et légende se mêlent étroitement.

    Le mythe du loup-garou est fort ancien et commun à de nombreux peuples. Déjà au Ve siècle avant notre ère, Hérodote relate que les Grecs qui s’établirent sur les bords de la mer Noire considéraient les habitants de ces contrées comme des magiciens capables de se métamorphoser en loups.

    A partir du XVe siècle, le mythe se transforma en superstition religieuse. On fit état de philtres et d’onguents magiques ainsi que de pactes avec le Diable.La rigueur des hivers à la fin du Moyen Âge et au début de l’époque moderne , la crainte du loup, encore très présent dans les forêts d’Europe au XVe et au XVIe siècle, peuvent expliquer l’ »épidémie » de loups-garous qui se produit à cette époque.

    Mais, la conviction qu’un homme peut se métamorphoser en un animal prédateur n’est pas propre au monde occidental.
    L’homme-tigre, l’homme-léopard ou l’homme-crocodile jouent un rôle analogue dans les légendes indiennes ou africaines.

    Dans la mythologie scandinave, des êtres humains, pour chasser, prenaient l’aspect d’un ours. L’origine du mythe vient d’ailleurs peut-être de la mythologie nordique, avec ses dieux, qui se métamorphosent en ours ou en loup. 

     La lycanthropie

    Un homme ne peut en aucun cas se transformer en loup, pas plus qu’en tout autre animal. Par contre, certains malades se croient capables d’une telle métamorphose.
    Le terme lycanthropie désigne en psychanalyse une affection dans laquelle le patient s’imagine être un loup.Ce n’est qu’une hallucination car le malade ne présente bien sûr aucune métamorphose. Mais cette maladie explique les aveux dans certains procès.

    La croyance dans la lycanthropie peut également tirer son origine d’une maladie génétique qui se manifeste par une pilosité faciale excessive.
    Un cas classique de cette affection est celui de Petrus Gonsalvus, dont l’apparence hirsute lui valut le surnom d’ »Homme-loup de Bavière ».
    Sa fille hérita de la maladie et un portrait la montrant avec un visage couvert de poils fut offert au roi de Bohême.

    Le Petit Chaperon rouge et le Grand Méchant Loup. Cette fable enfantine traduit en fait l'inquiétude des hommes face au loup


    Les psychoses de lycanthropie peuvent aussi être dues à l’absorption de certaines drogues. Ainsi, un soldat américain se prit pour un loup-garou après avoir absorbé du LSD et de la strychnine alors qu’il se trouvait dans une forêt en Allemagne.
    Certaines affaires de loups-garous sont liées à l’absorption de végétaux aux propriétés psychotropes.

    Enfin, on connaît aujourd’hui une maladie dite « paranoïa zooanthropique » où des hommes se prenant pour des animaux, cherchent à boire du sang ou à manger de la chair crue.

    Au XVIe siècle, une véritable psychose règne dans les campagnes. Des procès sont organisés et de nombreuses personnes sont ainsi exécutées car accusées de se transformer en loup. Mais, dans la plupart de ces procès, il y a effectivement des meurtres à caractère cannibale de commis.

    A l’époque, nul ne doute de l’existence des loups-garous dans lesquels on voit la manifestation du diable.


    L’un des plus célèbres procès se déroule en Franche-Comté en 1574. On y juge Gilles Garnier, accusé d’avoir tué plusieurs personnes, dont des enfants, et de les avoir dévorées après s’être transformé en loup.

    C’est par un pacte passé avec le diable que Garnier aurait acquis la capacité de se transformer en loup.
    Lors du procès, l’accusé lui-même a avoué avoir utilisé un onguent magique pour enduire son corps avant d’attaquer ses victimes.

    Les « loups-garous » étaient assimilés aux sorcières et condamnés au bûcher.


    En un peu plus de 100 ans, on a enregistré, seulement en France, 30 000 procès de loups-garous. Les minutes ont été conservées dans les archives locales.

    Toujours au XVIe siècle, un certain Jacques Rollet fut arrêté après le meurtre de plusieurs enfants.
    C’était un simple d’esprit pratiquant le cannibalisme. Il est certain que Rollet se prenait pour un loup. Il fut condamné à mort mais finalement on l’enferma dans un asile d’aliénés.


     

     Les loups-garous modernes

    A notre époque, la lycanthropie ne fait plus l’objet de superstitions religieuses. Cette maladie est connue et aucun esprit sensé ne peut encore croire à de telles affabulations.
    Il n’en reste pas moins que de temps à autre, des loups-garous sèment la terreur.A Singapour, en 1957, une série d’agressions mystérieuses posa une énigme aux autorités anglaises.On murmurait que des loups-garous s’attaquaient aux pensionnaires d’un foyer d’infirmières. Une nuit, l’une d’entre elles, se réveilla et vit « une horrible face bestiale, aux cheveux plantés si bas sur le front qu’ils atteignaient la racine du nez et dont la bouche laissait dépasser des crocs acérés ».Ce mystère ne fut jamais éclairci. Cependant, nul doute qu’à force de se « monter la tête », l’une d’entre elles a fait un cauchemar.


    En 1975, un jeune anglais de 17 ans, se croyait sur le point de se transformer en loup-garou. Pour mettre un terme à ses souffrances morales, il se plongea un couteau dans le cœur.

    Cette triste histoire montre que le mythe du loup-garou a toujours de l’emprise sur les esprits faibles ou malades.

    Un loup qui hurle dans la nuit résonne comme un appel à la vie sauvage. Cela évoque aussi une certaine nostalgie de la nature. L’homme, qui grâce à des pouvoirs magiques, se transforme en loup, en acquiert les capacités : puissance, rapidité, agilité, ruse, férocité …



    Les enfants-loups

    Si le mythe du loup-garou n’est qu’une légende, par contre, plusieurs cas d’enfants élevés par des loups se sont effectivement produits.

    La plupart des cas d’enfants-loups modernes ont été répertoriés aux Indes. La surpopulation et l’extrême pauvreté en sont les causes.
    Le cas le plus célèbre est celui des enfants de Midnapore. Ce sont deux fillettes, découvertes en 1920, dans la tanière d’une louve.
    Emmenée à l’orphelinat de Midnapore, la plus jeune décéda rapidement, sans avoir réussi à marcher, ni à parler.
    La seconde survit 9 ans à sa capture et apprit péniblement à se tenir debout et à prononcer quelques mots.

    En 1976, un enfant d’environ 8 ans, toujours aux Indes, fut trouvé alors qu’il jouait avec des louveteaux.
    Hirsute, sale et avec des ongles aussi longs que des griffes, il fut confié aux Missionnaires de la Charité au nord de New Delhi.
    Il y resta jusqu’à sa mort, en 1985.

    Le plus surprenant dans ces tragiques histoires d’abandon d’enfants est la capacité des louves à élever des petits d’une autre espèce et surtout des petits d'homme comme nous l'a si bien conté Walt Disney dans le Livre de la Jungle..
    C’est probablement la plus grande énigme liée aux histoires de loups-garous.


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  • Apollo 16.

     
    Il n'y a que deux éléments à remarquer sur cette photographie mais ce sont des éléments importants.


    Premièrement, le caillou que vous voyez en bas de la photographie. Si vous remarquez, il y a la lettre "c" d'inscrit sur la roche. Ce n'est sûrement pas un hasard puisque le "c" est vraiment parfait. Qui plus est, c'est un système de repérage très courant dans les studios de photographie que de mettre des lettres sur les objets.


    Autre point, les traces de roues sur le sol lunaire. Les traces font un virage à angle droit. Sur la lune, un tel virage serait possible avec un sol très humide.(autrement, les traces seraient différentes). Hors, sur la lune, tout est extrêmement sec…

     

     
    Ici nous voyons Buzz Aldrin, debout sur la lune. Le soleil brille sur son épaule gauche. Sur la lune, lorsqu'un objet est dans l'ombre, il devient très difficile de remarquer des détails...pourtant, le bras droit de Buzz est très clair et en détail. Des conditions lunaire réelles ne nous donneraient pas la chance de voir tous les plis sur sa combinaison.

    Autre fait étrange; Derrière Buzz, la paysage s'estompe pour disparaître au loin. Cet effet ne devrait pas exister sur la lune. La NASA nous explique que ce sont les pellicules utilisées qui trompe l'œil humain....(????)

    Dernière remarque pour cette photographie; On aperçoit un objet dans la visière de Aldrin. Plusieurs experts pensent que cet objet est un hélicoptère d'une altitude de 12 mètres. La NASA s'amuse à dire que c'est du matériel posé SUR la lune....mystère.


     

    Le module lunaire Antarès d'Apollo 14

    Tout d'abord, le module est posé sur la surface de la lune mais on ne peut pas voir aucun cratère sous l'engin. À l'alunissage, le module aurait dû déplacer beaucoup de poussière lunaire. Pour combler le doute, sous l'appareil, on peut voir une trace de pas. Or, personne n'aurait logiquement pu marcher à cet endroit avant que le module ne se soit posé.
    Sur la gauche d'Antarès, on peut lire "United States" (moins visible à cause du transfert dans le système informatique). Cette plaque aurait du être dans l'obscurité totale puisque le soleil est de l'autre côté du module. Buzz Aldrin lui même affirme qu'il n'y a pas le phénomène de réfraction de lumière sur la lune.


    Les passagers de cette mission n'avait pas un système de photographie avec une technologie assez avancée pour fournir une autre source de lumière que celle du soleil. Or, cette prise semble avoir plusieurs source de lumières... 


    Cette photographie a été prise durant la mission d'Apollo 14.

     
    Ici on voit l'astronaute Alan Bean. Comme vous voyez, les appareils sont fixés sur la poitrine des astronautes. Donc il est un peu bizarre que l'on puisse voir le haut de la tête de celui photographié.
    Autre niveau de luminosité erronée. Les ombres provoqués par Bean partent dans tous les sens et ne sont pas parallèles. Encore une fois on peu supposer qu'il y avait plusieurs sources de lumières.
    Dernier aspect, le cylindre que Bean tient dans sa main. Ce tube est pour ramasser des échantillons de poussière de lune. Hors, le bras droit de Bean est dans la lumière et le couvercle du cylindre est aussi illuminé. Par contre il sont dans deux direction différentes. Ceci peut-être dû au reflet de la lumière sur le scaphandre mais le reste du récipient n'est pas éclairé de façon aussi vive!

    Remarquons également que sur aucune de ces photos, nous n'apercevons les étoiles dans le ciel. Les prises sont pourtant fixes, ce qui laisse penser qu'il s'agit d'un fond noir, d'un décor.

    Mais si ces photos sont des fausses, quels intérêts aurait eu la NASA à nous les montrer (surtout avec des erreurs si apparentes pour des experts de la photographie) et pourquoi ne reconnaissent-ils pas leur mensonge à l'heure actuelle?


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  • La publicité qui entoura l'incident de Roswell  a donné naissance à des histoires . L'une d'elles commença à circuler à la fin de 1978: une soucoupe volante se serait écrasée au Mexique,   le 7 juillet 1948. À l'intérieur, on aurait découvert le corps carbonisé de son pilote extra terrestre.Les débris de la soucoupe auraient été emportés par des militaires américains et mexicains

     
     
     

    Pour les adeptes de la vie extra terrestres ce serait le cadavre d'un alien retrouve a roswell lors de son crash,pour d'autres la forme apparaissant sur les clichés ne serait que le corps calciné d'un pilote humain tué dans l'accident d'un avion de tourisme ou bien le pauvre corps d'un homme victime de mal formation ou d'irradiation.


    Roswell : de 1947 à aujourd'hui


    Que s'est-il vraiment passé dans le désert du Nouveau-Mexique en 1947 à Roswell ? L'US Air Force annonce officiellement avoir récupérer une soucoupe volante avant de se rétracter. Ce simple événement va hisser l'affaire Roswell au rang d'un mythe légendaire, nourri au début des années 90 par le film controversé de l'autopsie de l'extra-terrestre de Roswell.

    Le cas Roswell est devenue depuis, la plus célèbre affaire de crash d'ovni et d'extra-terrestres retrouvés, grâce aux témoignages de Jesse Marcel Jr, Glenn Denis, Kevin Randle, et de nombreux autres acteurs et témoins de cette affaire.

    Pourtant l'affaire Roswell continue de laisser planer le doute. Encore aujourd'hui, des commissions d'enquêtes se penchent sur cette affaire et l'on apprend que toutes les archives relatives à cette affaire auraient été détruites, contrairement aux règles gouvernementales.


    Jesse Marcel a dit que les débris que l'on peut voir sur cette photo, ne sont pas ceux qu'il avait déposé au même endroit, quelques minutes plus tôt. Mais il est déjà trop tard pour s'en plaindre, ses supérieurs hiérarchiques font entrer les journalistes et c'est à cet instant précis que cette photo est prise.

    Le lendemain la photographie paraît dans les journaux et la nouvelle se répand comme une traînée de poudre. Jesse Marcel est soumis au secret militaire, il ne pourra plus jamais parler de cette affaire à personne.

    Mais quelques années plus tard, il en parle à sa propre famille, insistant sur le fait que ce jour là, ses supérieurs avaient dissimulé les vrais débris dans une autre pièce et que ceux qu'il avait ramassé à Roswell n'y ressemblaient pas du tout.

    Selon lui, ces débris venaient vraiment d'une soucoupe volante crashée.

    Bref, tout dans cette affaire ne tourne pas rond. Comme le fermier qui a retrouvé les premiers débris de l'ovni présumé. Ce dernier a soudainement eu les moyens de se payer une nouvelle ferme et un nouveau terrain…

     Même une radio locale qui avait enregistrée son interview n'obtiendra pas l'autorisation de la diffuser. L'armée donnera un ordre stricte au patron de cette station de radio, lui disant que si l'interview était diffusée, il perdrait son job et l'autorisation d'émettre.

    En somme, tous les témoins de cette affaire on soit étés menacés, soit achetés par les militaires pour garder le silence. Ajoutez à ça que les informations relatives au crash de Roswell auraient toutes étés détruites et vous obtenez un superbe complot militaire.

    Le plus étrange, si vous regardez de prêt l'histoire des agences de sécurité américaines, c'est qu'en 1947 il y a eu énormément de changements dans le F.B.I et la C.I.A. C'est même en 1947 que le groupe Majestic 12 aurait été créé. Il faut croire que quelques personnes, à l'époque, commençaient déjà à payer le prix du silence. Plusieurs personnes au F.B.I et à la C.I.A auraient été remplacées de leurs postes respectifs, d'autres y auraient pris leurs places.

    Décidément, ce ballon météo fait des ravages !

    À l'époque, des OVNIs étaient déjà signalés et captés par les radars.

     

     
     


     
    Est-ce un matériau extraterrestre ?


    « Nous avons démontré que ce matériel révèle des variations significatives des normes de composition isotopique trouvées sur Terre et devrait être considéré comme d'origine extraterrestre. » Dr. Russell Vernon-Clark

    Le 4 juillet 1997 au matin, dans une salle de Roswell, Nouveau-Mexique, des centaines de journalistes de la presse d'information et d'autres auditeurs intéressés se sont réunis pour ce qui était annoncé comme une conférence de presse sur l'investigation scientifique d'un objet présumé avoir été récupéré lors de l'accident d'un ovni près de Roswell en 1947.

    L'orateur principal, le Dr. Russell Vernon-Clark, chimiste de l'université de Californie, San Diego, a lu son rapport préparé d'avance, et a immédiatement quitté la salle, frustrant beaucoup de journalistes qui auraient voulu le questionner. Néanmoins, les résultats donnés par M. Vernon-Clark représentent assurément la plus grande surprise de la semaine du festival appelé Rencontre 97 de l'ovni de Roswell.

    Paul Davids, producteur de film à Los Angeles, a ouvert les débats sur le thème de l'incident de Roswell, puis a passé la suite à l'hypnothérapeute de Houston, Derrel Sims. C'est Sims qui avait acquis l'objet prétendu extraterrestre et qui, avec l'aide du producteur de télévision Christopher Wyatt, avait organisé l'exploration scientifique de l'objet.

     

    Plan d'investigation de l'objet façonné :

    - Les Critères
    - L'Objet façonné
    - L'exploration étude spectrométrique
    - ICP/MS
    - SIMS
    - ICP/OES
    - Les Données
    . Nickel
    . Zinc
    . Argent
    . Silicium
    . Germanium
    - Conclusions

     

    Extraits de l'intervention de Derrel Sims :

     
    « Nous sommes ici aujourd'hui pour rendre public les résultats de l'étude en laboratoires, les conclusions scientifiques et la chaîne d'évidence de ce qui est, sans doute, une des plus extraordinaires découvertes de notre temps.

    Avant de commencer, je voudrais remercier en premier mon collègue, le Dr. Roger Leir, et le producteur Chris Wyatt. Je voudrais également remercier le Dr Russell Vernon-Clark, qui est avec nous ici aujourd'hui, pour sa patience pendant le long processus d'évaluation et pour son courage à se proposer pour cette recherche.

    En août 1995, j'ai été contacté par un homme qui prétendait posséder ce qu'il disait être des «fragments de débris » provenant de l'accident de Roswell de 1947. Après l'avoir rencontré, nous avons commencé une large investigation sur l'histoire de ce matériel et les faits rapportés par la source. Ensuite, nous avons appris que ce matériel avait été gardé secret pendant presque 50 ans par crainte du ridicule et de représailles.

    Avant de recevoir les résultats de l'étude de métallurgie préliminaire, nous ne pensions pas la source croyable et le matériel digne de recherches ultérieures. Ces résultats préliminaires suggéraient que ce débris était assez unique par sa composition et sa structure pour exiger notre attention et en promouvoir l'étude en laboratoire.

    Nous avons alors pris possession du matériel. Il fut d'abord fragmenté pour en conserver une part et distribuer le reste à des laboratoires et des scientifiques à travers le pays. La procédure d'évaluation a alors commencé. Avant de considérer qu'un matériau ou un objet travaillé peut être considéré comme un artéfact extraterrestre, trois caractéristiques principales doivent être satisfaites.

    D'abord, l'étude doit fournir des résultats concluant que la composition élémentaire du matériel est d'origine extraterrestre et ne peut pas provenir de ce monde. Deuxièmement, il doit avoir une structure uniforme. Et troisièmement, les études en laboratoire doivent prouver que le matériel est manufacturé et non pas formé par la nature. C'est-à-dire, ce ne doit pas être une météorite ou un fragment de météorite.

    C'est la première fois qu'un débris de Roswell est montré au public. Après un an et demi de recherche intensive, des scientifiques de tous les États-Unis ont conduit une batterie d'essais en laboratoire qui concluent que le matériel que vous avez devant vous est manufacturé, est structuré, et d'origine extraterrestre.

    L'objet façonné prétendu extraterrestre


    Gros plan de l'objet façonné à coloration peu commune.

    Ce morceau de débris mesure approximativement 3,70 x 1,85 x 1,60 cm. La surface frontale montre une courbure à deux niveaux et une décoloration provoquée par une exposition à une chaleur extrême. Cette décoloration s'étend de l'indigo au vert foncé.

    Que le thème de l'intelligence extraterrestre soit ou non dans votre système de croyances, l'évidence scientifique sur le matériel présenté, combinée avec l'histoire des débris, nous a conduit à la conclusion que quelque chose d'origine extraterrestre, qu'un aéronef se soit crashé ou non, était de fait présent dans le désert près de Roswell en juillet 1947. »

    A ce moment Derrel Sims présente le Dr. Russell Vernon-Clark et lui laisse le podium. Le texte complet des commentaires du Dr Vernon-Clark suivent : 

    Commentaires de Russell Vernon-Clark :

    « Bonjour. Mon nom est Dr. Russell Vernon-Clark. Je suis un scientifique actuellement utilisé par l'université de Californie, à San Diego et je possède un doctorat en chimie.

    Depuis un an et demi, j'ai été, à titre privé, impliqué dans l'investigation et l'analyse du matériel que vous a décrit Derrel, et je suis ici pour présenter les résultats des tests et de l'analyse conduits jusqu'ici sur ce matériel par des scientifiques à travers les États-Unis.

    Au moyen de tests complets - qui incluaient une spectroscopie induite couplée de masse et à plasma et la spectroscopie de masse ionique secondaire - nous avons établi que ce matériel révèle des variations signifiantes des normes de composition isotopique trouvées sur la Terre et devrait être considéré comme d'origine extraterrestre. De plus, en utilisant la spectroscopie induite couplée à émission optique et à plasma, il a été établi que ce matériel devait être considéré comme manufacturé, comme n'étant pas d'origine naturelle.

    Il est bien connu que toute la matière est composée d'atomes. Un atome se compose d'un noyau entouré par un nuage d'électrons. Tous les noyaux, autre que l'hydrogène le plus simple (un proton), sont composé à la fois de protons et de neutrons.

    Les atomes qui ont le même nombre de protons appartiennent tous à un même élément, comme l'aluminium ou le carbone. Quand le nombre de protons, entre deux atomes ou plus, est le même mais que le nombre de neutrons est différent, ces atomes s'appellent des isotopes. Par exemple, un isotope du carbone à six protons et six neutrons est appelé carbone-12. Un autre isotope à six protons et sept neutrons est le carbone-13. Le carbone naturel sur Terre est un mélange de 98,9% de carbone-12 et 1,1% de carbone-13. Cela est vrai pour tout les carbones d'origine terrestre naturelle.

    Si un échantillon de carbone s'avérait être un mélange à 50% de carbone-12 et 50% de carbone-13, nous devrons conclure que l'échantillon n'est pas d'origine naturelle terrestre.

    J'ai personnellement conduit le premier ensemble d'étude des rapports isotopiques en utilisant la spectroscopie induite couplée de masse et à plasma ou ICP/MS pour faire court. L' ICP/MS est utile pour déterminer la composition élémentaire et les rapports isotopiques d'une gamme extrêmement grande d'éléments. Dans le cas de 'artéfact, l'échantillon a été dissous dans un mélange d'acides nitrique et fluorhydrique. Le matériel a ensuite été pulvérisé dans un plasma d'argon ce qui sépare les ions atomiques.

    Les ions sont accélérés dans un spectromètre de masse pour séparation et détection. Vous comptez en effet le nombre de noyaux atomiques qui correspond à un isotope spécifique.

    Parce que notre temps est limité aujourd'hui, je sauterai les complexités de l'analyse et des données et vous donne une brève vue d'ensemble des résultats de l'ICP/MS. Tous les isotopes que j'ai choisi d'analyser étaient présents sous forme de traces.  

    Crash à Roswell : La Connexion Los Alamos

    Une visite au Musée International d'OVNI (International UFO Museum) à Roswell, N.M., pousserait à croire que le présumé crash d'un OVNI près de cette ville, en juillet 1947, était un vrai événement extraterrestre. Au moins six vidéos s'alternant, et de nombreuses expositions, et des bandes audio explorent le témoignage de témoins oculaires et une forte preuve indirecte d'un crash extraterrestre, la récupération et l'opération de camouflage par de hautes autorités militaires.

    Plusieurs des pilotes de l'époque, à la Roswell Army Air Base, déclarent sur bande que dans les quelques jours suivant l'incident, ils se sont envolé avec des débris à Fort Worth Army Air Field, à Washington, D.C., et à Wright Field (Dayton, Ohio). Trois vols ont aussi été faits à Los Alamos, N.M. Bien sûr ces vols non prévus, dit de traîner des débris d'un crash, ne prouvent pas qu'un véhicule extraterrestre a été récupéré ou dissimulé à Roswell. Ce que les vols prouvent est que le crash a été pris au sérieux par le commandant de Base à Roswell et son intelligence et du personnels aériens au niveau local.

    S'ensuit maintenant une histoire de Roswell et Los Alamos qui peut expliquer les trois vols faits du Roswell Army Air Field à Los Alamos le 9 juillet 1947, quelques jours après le crash. Cette histoire est de Carol Syska, ancienne directrice du UFO Museum à Roswell (Musée d'OVNI) pendant 1999 et la plupart de l'année 2000.

    Carol était une secrétaire de groupe et la directrice de division du budget à Los Alamos pendant presque 30 ans.
    Elle a pris sa retraite en 1988 et déménagé à Roswell, N.M., pas loin de la ville où elle est née et grandit. Carol entendit parler d'OVNIs, pour la première fois, lorsqu'elle habita en Californie au début des années 1950, aboutissant à un intérêt des OVNIs en général. Un jour à Los Alamos, elle a lu qu'un rapport contenant de l'information sur les OVNIs, était disponible dans la bibliothèque du laboratoire. Cela lui sembla intéressant. Elle commanda le rapport. Elle a lu un livret, intitulé Projet Blue Book, qui contenait quelques commentaires à propos de débris d'un véhicule accidenté étant envoyés à Los Alamos pour des analyses.

    Dans ce temps-là (1962), Carol travaillait au Lab with the NonDestructive Test Group (NDT). Son patron, un scientifique ayant plus d'ancienneté, était le chef du NDT et avait été avec le Lab depuis le début du Manhattan Project. S'il y avait eu des analyses ayant été faites sur des débris de crash, le patron de Carol saurait à propos des analyses et la vérité du crash à Roswell.

    Carol est allée au bureau de l'homme et lui a montré le rapport.
    Elle a demandé, "Est-ce vrai ?"
    Le patron de Carol, d'une façon habile en affaires, a répondu, "Quel est le niveau de votre "security clearance" ?"
    Carol a dit, "Monsieur, vous savez aussi bien que moi ce que c'est."

    (Carol m'a dit que dans ce temps-là, elle détenait un "clearance" Q.
    Un "clearance" Q est un très haut "National Security clearance".)

    Le patron de Carol, après une pause, a dit, "Bien, avez-vous le besoin de savoir ?"
    Carol a dit, "Crois pas," et s'est dirigée vers la porte.
    Le patron de Carol a dit, "Juste une minute."
    Après une autre pause, il a ajouté, "Je vous conseillerais de lire tout ce que vous voyez à propos de ce sujet."

    C'était la fin de la conversation. Carol n'a jamais de nouveau rediscuté la question avec son patron, le scientifique ayant plus d'ancienneté, qui est maintenant décédé. Mais Carol croit que le scientifique lui a donné une indication de la vérité.

    L'histoire de Carol se poursuit. Une après-midi au début des années 1980, Carol était en co-voiturage avec trois hommes, s'en allant à la maison, quand un d'entre eux a indiqué une lumière brillante dans le ciel à un angle d'environ 45 degrés au-dessus de l'horizon. Le soleil s'était déjà couché derrière les montagnes.

    "Nous avons tous regardé la lumière, qui ne se déplaçait pas. Tout à coup, elle est tombée d'environ 20 degrés et a fait un virage en angle droit vers l'est et est partie dans un clignement des yeux. Un camarade a fait une remarque, ' Je viens de sortir de l'Air Force (armée de l'air), il y a trois mois, et nous n'avons rien comme ça! ' Nous n'avons jamais parlé à qui que ce soit de cet incident," commenta Carol. "Nous n'avons pas voulu nous ridiculiser."

    Après la retraite du Laboratoire, Carol a joint le personnel du Roswell UFO Museum.
    Lors de la première visite de Carol au Musée d'OVNI, elle a vu une lettre du Secretary of the Air Force, disant qu'à aucun moment l'incident Roswell avait été mentionné dans le Project Blue Book. Cette lettre prouva à Carol que des opérations de camouflage du gouvernement avaient lieu. Carol a continué à lire, au fil des années, les démentis d'une opération de camouflage.

    Un jour, pendant l'été de 1998, une dame de l'Ohio, visitant le UFO Museum, a dit à Carol qu'elle a toujours voulu visiter Roswell depuis la lecture du crash d'OVNI, il y a plusieurs années. Sachant que l'Incident Roswell n'était pas connu du publique avant les années 1980, Carol demanda à la dame ce qu'elle avait lu, qui lui avait parlé du crash. La dame a répondit qu'elle avait lu à propos du crash lorsqu'elle travaillait à la Wright-Patterson Air Force Base (autrefois Wright Field), au début des années 60.

    Carol a demandé à cette dame ce qu'elle avait lu.
    La dame a répondu, "C'était dans le Project Blue Book, la toute première édition."

    Cette conversation entre Carol et la dame de l'Ohio, a confirmé la croyance de Carol en une opération de camouflage du gouvernement de l'Incident Roswell. Pourquoi ? Parce que l'Incident a été inexplicablement retiré des éditions postérieures du Blue Book.

    L'histoire de Carol soulève de sérieuses questions pour les étudiants d'OVNIs et de l'Incident Roswell. Les chercheurs ont longtemps cru que Los Alamos aurait pu jouer un plus grand rôle, dans l'Incident, qu'actuellement compris.



    Certaines de ces questions pourraient être :

    1. Pourquoi des leaders militaires enverraient-ils une pile de parties de ballon météorologique, des cibles de radar "radar targets" et des mannequins de crash, fabriqués en Amérique, pour fin d'analyse à un des laboratoires les plus sophistiqués dans le monde pour l'évaluation ?

    2. Pourquoi faudrait-il un "Q clearance" pour examiner ces analyses plus un besoin de savoir, si seulement des parties de ballon météorologique ont été envoyées au Lab ?

    3. Quel était le vrai objectif des trois vols du Roswell Army Air Field à Los Alamos, le 9 juillet 1947 ?

    4. Est-ce que les éditions postérieures du Project Blue Book ont été modifiées pour cacher le fait que des débris de crash ont été envoyés de Roswell au Lab ?

    5. Et finalement, la question fondamentale : Est-ce qu'un vaisseau spatial extraterrestre s'est effondré près de Roswell en 1947, et a-t-il été fabriqué sur une autre planète, et est-ce que l'événement a été caché au public depuis ?

    Comme j'ai suggéré, une visite au UFO Museum à Roswell pourrait être une expérience inoubliable pour ceux qui ont des yeux pour voir et des oreilles pour entendre. Le musée est ouvert sept jours par semaine et l'entrée est gratuite.

    James Parsons était un navigateur de l'Armée de l'Air (Air Force) dans les années 1950. Il est un évaluateur d'art dans le Taos, N.M., et un membre de deux groupes d'étude d'OVNI.


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  • Le lecteur doit être avisé d'un risque éventuel concernant l'utilisation de la planche oui-ja ou de verre ou  autres. Le fait de "jouer" avec cette planchette peut attirer des entités négatives.

    Toutes formes d'éssaient pour entré en contacte avec une entitée peu savéré dangereuse

    Le oui-ja se déplace seul, sans être poussé par les doigts des participants. Cependant, les trajectoires ne sont pas dues au hasard, elles ne suivent pas l'instinct des participants, car dans ce cas, l'instrument ne pourrait accomplir que des mouvements courts et incohérents. C'est ce champ de forces convergentes, cette entité supra-physique qui permet de déterminer la trajectoire dans un sens adéquat et significatif.


    La gamme des résultats qu'on peut obtenir avec cette technique est très vaste. Les mots insensés et les phrases vides de sens sont de véritables phénomènes de divination, qui relèvent de l'extra-lucidité, riches en détails dans les communications télépathiques entre les personnes lointaines ou avec des défunts.


    La réussite de l'expérience dépend de plusieurs facteurs complémentaires: le nombre de participants, l'entente qui règne entre eux, le sérieux des intentions et le calme. Les conditions atmosphériques ne sont pas à négliger, ni les phases de la lune, ou la présence dans la pièce d'animaux ou d'objets qui pourraient modifier le résultat de l'expérience.


    Si vous désirez inclure le oui-ja dans vos techniques de communication incorporelle, vous devez vous procurer une tablette de bois ou de carton, y écrire en cercle les lettres de l'alphabet et les chiffres de 0 à 9. Tracez au centre de la tablette deux carrés dans lesquels vous écrirez les mots "oui" et "non". Choisissez un verre à liqueur très léger et très stable (une soucoupe ou une pièce de monnaie si vous préférez). Puis réunissez un groupe d'expérimentateurs d'au moins deux personnes en plus de vous-même. Recherchez la présence de personnes sérieuses et en qui vous pouvez avoir confiance afin d'avoir à changer trop souvent de partenaires, ce qui serait absolument négatif, l'unité et la confiance étant nécessaires au bon fonctionnement du groupe.


    Le cadre où se déroulera l'expérience doit être confortable et calme, et dans la mesure du possible, toujours le même endroit. Vous aérerez la pièce pour en faire disparaîtretoute trace de fumée ou autres odeurs, vous allumerez un bâtonnet d'encens et une bougie. Vous placerez dans un coin une bassine d'eau qui permettra de libérez aisément le potentiel d'énergie que nous portons tous à certains moments. Vous devez prendre place en cercle autour d'une table, en alternant, autant que possible, hommes et femmes. Vous ôterez les bagues et autres bijoux qui bloquent le flux d'énergie entre les participants. Pour la même raison, vous éviterez de croiser les jambes et les bras. Vous devrez vous détendre. Une musique classique, un éclairage tamisé pourront vous aider à créer le vide mental nécessaire. 


    Posez légèrement le bout d'un doigt sur le petit verre retourné et placé au centre de la tablette, et attendez. Celui-ci commencera à se déplacer lentement, à tourner d'abord rapidement puis plus lentement, en décrivant des cercles de plus en plus larges autour des lettres.


    Il est probable que la première expérience ne sera pas satisfaisante. Il faudra organiser plusieurs scéances avant que l'instrument ne se limite plus à indiquer des syllabes confuses et qu'il réussisse à former des phrases sensées. Le plus expert d'entre vous aura la charge de diriger l'expérience et le devoir d'introduire l'entité en lui demandant si elle est disposée à commencer la communication, de poser les questions, de coordonner les interventions des participants et finalement de clore la scéance après avoir salué l'entité et l'avoir invitée à abandonner le groupe. Vous garderez le silence quelques minutes encore, puis séparerez vos doigts et allumerez la lampe.


    Il est recommandé de mener l'expérience à jour fixe, une fois par semaine par exemple. Une telle fréquence permet de maintenir des liens psychiques solides entre les participants et augmente les pouvoirs de l'entité collective. L'exigence de régularité doit être cependant nuancée dans certains cas. Il faut s'abstenir de faire une telle expérience durant la période menstruelle ou pendant les périodes de dérpession. Les expériences qui peuvent être menées avec le oui-ja sont multiples mais posent comme condition sine qua non que le groupe soit rompu à son utilisation. Dans certains cas, il faut plusieurs mois de pratique régulière avant d'aboutir à des résultats réellement intéressants.


    Vous pourrez alors recevoir des communications spontanées ou à la demande. Il est vraisemblable que vous retrouverez la même entité durant de nombreuses scéances, et qu'à partir de là vous pourrez commencer à établir des passerelles afin d'entrer en communication avec d'autres entités qui désirent se manifester ou que vous voudriez contacter dans un but particulier. Vous pourrez alors tenter des expériences de télépathie extra-lucide, recevoir des messages dans des langues étrangères, établir un diagnostic ou rechercher des objets perdus.


    Ne négligez pas la rédaction du compte-rendu, qui constitue un précieux document de vérification. Vous y inscrirez, lors de chaque scéance, la date, les noms des participants, celui de l'entité qui s'est présentée et les communications recues (questions et réponses).


    Aucun danger ne peut se dresser contre ceux qui collaborent, sérieusement et consciemment, pour atteindre un objectif commun: l'amélioration de soi et la connaissance.


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  • Le plan Astral comprend 7 sous-plans se divisant eux-mêmes, en 7 petits sous-plans, ce qui nous donne 7x7=49 petits sous-plans pour le plans astrals complets.

    Il touche le plan physique, et la mort du corps physique nous projette ipso-facto dans le plus bas de ses plans.

    Les sous-plans se comptent toujours en commençant par les plus grossiers, pour aller vers les plus fins, donc en "remontant" nous avons 7-6-5-4-3-2-1 (grosseur et finesse de ses molécules).

    Il permet à la pensée, venant du MENTAL de parvenir au corps physique.

    Il est le siège des sensations et permet de ressentir les peines et les joies, ainsi que les douleurs sous toutes leurs formes, morales et physiques.

    C'est en son sein que se créent les désirs qui devrons être maîtrisés par le mental. Il est un élément essentiel de l'évolution ; un tableau de contrôle indispensable pour apprécier le chemin parcouru et celui à parcourir.

    Son atteinte par toutes sortes de phénomène, (bruits, colère, drogues diverses, etc. etc. ) peut barrer la route de la spiritualité et provoquer sur le plan physique une folie plus ou moins grande, suivant l'importance de l'atteinte. 

    Plan mental inférieur

    Se sont les 4 plans les plus bas du plan mental total, qui comme le plan astral en comprend 7 ; chacun se divisant également en 7 petits sous-plans.

    C'est le siège de la pensée, arme absolue pour l'évolution, et nous rendre maître de nos envies, de nos désirs et de nos comportements matière.

    Il comprend 4x7=28 petits sous-plans. Sa finesse fait que seules des entités suffisamment évoluées peuvent y séjourner en toute conscience.

    L'amour y prédomine déjà fortement ce qui en fait un havre de paix et de bonheur.


     


    Plan mental supérieur ou causal

    Ce sont les trois plans supérieurs du plan mental, il comprend 3x7=21 petits sous-plans.

    Sur le plan causal se trouvent les MAITRES ; humains au sommet de la pyramide sur le plan matière, et n'étant par encore passés sur le plan ESPRIT, placé juste au dessus ; le point de passage étant "le point de transmutation".

    Ces humains sont devenus des " êtres d'amour " et de " lumière ", n'ayant
    plus obligation de se réincarner sur terre pour continuer leur évolution.

    Ils sont un des stades de l'évolution humaine vers le DIVIN. 


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