• Bob Lazar est apparu au grand public en 1989 sur une station de télévision à Las-Vegas et constitua un tournant important dans le cas de la zone 51 et de ses secrets. Bob Lazar

    D'après ses dires Bob Lazar fût employé de la zone 51 et plus précisement au sein de la zone "S4"

    à Papoose Lake,ses travaux consistaient à étudié le système de propulsion de 9 engins extra-terrestre  qui étais stationnés dans un hangar construit à l'intérieur de la colline.

    Il aurait eu accès à de nombreux documents top secrets sur la présence d'Ebe,mais n'en aurait jamais vue réellement.

    Les faits et autres informations sont strictements invérifiables,comment pouvez vous croire en un homme qui apporte des tonnes d'informations sans en apporté 1 seule preuve physique.

    Dans un premier temp Lazar à menti au sujets de ses diplomes et ainsi que la position qu'il avait à Los Alamos,d'après Lazar le Gouvernement à éffacé toutes traces afin de discrédité Bob Lazar.

    Les dossiers scolaire de Bob Lazar n'existe plus nul part,cela est une réalité,en se qui concerne ses travaux à Los Alamos il aurait été techniciens de maintenance et non scientifique comme il le dit.

     

    En se qui concerne des éléments sur la zone 51,B.Lazar ne peu donné réèllement beaucoup d infos, pour se rendre dans le secteur S4,il prenait l avion comme les centaines de travailleur de la zone 51 ,attérrissait sur la zone 51 qui n'étais qu'une zone de transfert pour lui et na jamais réellement vue se qui si fesait,et se dirigeait vers le secteur S4.

    Pourtant des documents officielle,t'elle que son badge,fiches de payes ect existe bien,quoi que le secteur S4 et la zone 51 n' apparait nul part.

    Bob Lazar est soit un grand illuminé,soit le gouvernement à décidé de le rendre totalement incrédible dans ses théorie qui pourrait être réel.

    A vous de faire votre opinion,mais n'oublié jamais qu'un gouvernement qu elle qu il soit est capablede tous,surtous lorsqu'il sagit du secret le mieux gardé au monde.


    votre commentaire
  • Vapeur

     
     

    Invisible a l'oeil nu,ces formes vaporeuses apparaissent sur de nombreuses photos.Tous commes les Globules,on les associes à l'énergie de personnes défuntes.
      

    Globules


     


    Très communes,ces formes sont invisibles a l'oeil nu et sont présentent sur de nombreuses photos.Il ni aucune explication à ce phénomène à ce jour.En éxaminant de nombreuses photos dans votre album de famille vous en découvrirez au moin une qui laisse apparaitre un globule.Ce phénomène est surtous présent sur les photos prisent de nuit ou dans un lieux clos peu allumé.Aucun signe de malvolence n'est associé à leurs présences 

    Lueur

    Parfois visible à l'oeil nu.Ces formes qui ressembles à un nuage claires sont souvent de teinte rougeatre et ont souvent une forme de silhouette humaine et sont parfois présentes lors de manifestation moins amicales.Etre témoin directe de se genre de lueur finit généralement par des manifestations physique (déplacement d'objets,bruits intenses,une impréssion d être épier,de fort maux de tête,avoir l'impréssion d être étouffé,ect...ect.....)
     

    Les autres
     

    Une liste réelle ne peu être établie,voilà les plus connues.


    Les spectres:silhouettes trés détaillée souvent très sombre et n'est visible que quelques secondes.

    Les vortexs:énergie négative de formes diverses et changeables souvent très lumineux et ne sont visibles que sur photographies

    Les cannulars 80% des photos sont généralements, de gros fake ou de simple problèmes lors de la prise ou d'autres effets qui n'ont rien à voir avec une rencontre avec une entitée réel.


    votre commentaire
  • Le 20 juillet 1969, en étant les premiers hommes à marcher sur la Lune, Neil Armstrong et Buzz Aldrin participaient à l'événement le plus important de l'histoire du XXe siècle. Outre le fait que beaucoup  y ont vu un moment déterminant de la conquête de l'espace et l'apothéose de la révolution scientifique, la science l'emportait enfin sur les superstitions en prouvant que la Lune, ce corps céleste synonyme de mystère et de magie depuis des millénaires, n'était somme toute qu'un énorme caillou dépourvu de vie.



    Les mythes anciens

    C'est dans la culture occidentale, où on associe depuis longtemps la Lune à certains comportements irrationnels, et surtout à la folie, que ces idées sont les plus fortes. Sans prétendre que le "coup de lune" serait une affection infiniment plus sournoise que le classique coup de soleil, l'astre nocturne est néanmoins suspecté d'affecter l'humeur au sens premier du terme. En témoignent, dans la terminologie, le mot anglais lunatic (fou) et son faux-ami français "lunatique" (d'humeur changeante), tous deux issus du latin. Cet aspect instable est renforcé par sa perpétuelle transformation au fil de son cycle mensuel.

    Terrain de jeux du rêveur et chasse gardée du romantique, l'astre de Tanit si cher au poète est pourtant privé de lumière propre et n'existe, à nos yeux, que comme le reflet du Soleil. C'est probablement la raison pour laquelle la première expédition sur la Lune fut nommée Apollo, en référence au dieu grec du soleil Apollon. Peut-être aussi fut-ce pour conjurer l'opposition récurrente du rationalisme et de la logique solaire d'une part, à la folie et à l'intuition associées à la Lune d'autres part...

    Il est en effet fréquent de mettre en lice ces deux corps célestes en un combat symbolique censés représenter les côtés rationnels et irrationnels de la nature humaine. Étymologiquement, les anciens dissociaient le Soleil et la Lune, attribuant au premier, des caractéristiques masculines et à la seconde, des caractéristiques féminines. Dans le mode de pensées occidentale, l'homme étant toujours dépeint comme rationnel, et la femme comme plus intuitive ou irrationnelle, beaucoup ont vu dans ce lien un prélude à l'association qui est faite aujourd'hui entre la Lune et l'irrationalité. 

    La porte de l'enfer

    Outre Lilith, la première femme d'Adam, représentée comme une Lune noire, symbole des territoires de l'occulte et du vide, la Lune est féminisée dans toutes les représentation.

    Ainsi, dans la tradition grecque, plusieurs déesses avaient un aspect lunaire. Hécate, sans doute la divinité la plus sinistre du panthéon grec, symbole du côté sombre de la Lune, était associée au sang, à la sorcellerie et aux enfers. Une autre déesse grecque associée à la Lune, moins angoissante mais non moins meurtrière, était Artémis. Baptisée Diane chez les romains, cette déesse de la chasse et des animaux sauvages s'intéressait surtout au bien être des jeunes filles. Hécate et Artémis sont encore vénérées aujourd'hui en Occident comme des aspects de la "Grande déesse", surtout par ceux qui se font appeler les Wiccas . Ils affirment être les héritiers d'une ancienne religion primitive que les Chrétiens considéraient comme de la sorcellerie. Dans le calendrier et la cosmologie Wiccas, la Lune occupe toujours une place prépondérante.



    Certains penseurs Wiccas insistent sur le lien qu'il existe entre le cycle lunaire (la pleine Lune apparaît tous les 29,53 jours) et le cycle menstruel (environ 28 jours) pour justifier de la prédominance des déesses dans le culte de cette croyance païenne moderne, que certains qualifie de délibérément féministe.

    De tendance New Age, le mouvement Wicca insiste sur les aspects positifs de la déesse Artémis, tout en glissant sur ces caractéristiques plus sinistres : toute féminine qu'elle ait été, Artémis n'en fut pas moins une chasseresse sanguinaire sas pitié pour ses proies. De la même façon, Hécate, personnification de la sagesse féminine, réclamait des sacrifices sanglants. Aussi, malgré les louables efforts des Wiccas, le côté enchanteur et mystérieux de la Lune reste indissociable de sa face ténébreuse.

    La nuit de pleine Lune qui suit l'équinoxe d'automne est encore considérée dans de nombreuses traditions nordiques comme la nuit du chasseur.

    A cette époque de l'année, la Lune irradie et éclaire la Terre d'une lumière particulière. C'était, pour nos ancêtres, le signal d'une nouvelle période de chasse. Certains auteurs s'étant efforcés d'imaginer le style de vie des premiers hommes, ont établi des liens intrinsèques entre la fécondité, la soif de sang et les cycles lunaire . Pourtant, quelques zoologues invitent à la prudence de jugement en rappelant que les femelles chimpanzés, grands mammifères qui partagent 99% de leurs gènes avec l'espèce humaine, ont un cycle de 32 jours...

    Mais l'association la plus connue entre soif de sang et cycle lunaires parvenue jusqu'à nous est la légende du loup garou. Notons que, si la conception de la transformation de l'homme en loup sanguinaire remonte à la nuit des temps, l'idée que la métamorphose soit provoquée par la pleine Lune est une invention récente.

    Répondant à l'attente du public américain pour des films d'angoisse, les Studios Universal sortirent avec succès Dracula en 1931 , puis The Mummy (La Momie). Bien inspirée, c'est au même cinéaste, Tod Browing, que la production confia la réalisation du film The Wolf Man (Le Loup garou) qui, en 1941, a mondialement popularisé la mutation de l'homme en loup durant la pleine Lune.

    C'est également grâce (ou à cause) de ce film que le loup-garou s'est vu affublé de la capacité à transmettre sa maladie par morsure et qu'il fut associé à la symbolique magique du pentagramme.

    Légende de la Lune

    On peut s'interroger sur le fait que l'association entre loup-garou et la Lune (symbole de chasse et du mystère) ne soit pas plus ancienne. Mais, au XVIIe siècle, lorsque l'on prétendait que les loups-garous envahissaient l'Europe, on préféra certainement croire qu'ils étaient les signataires de pactes avec Satan et le fruit d'obscures incantations de magie noire plutôt que les victimes involontaires de cycle lunaire.

    Aujourd'hui, les loups-garous ont bien entendu rejoint le peuple des lutins dans les contes et légendes mais il faut croire que le mythe est tenace dans l'inconscient collectif puisque l'on croit encore que la pleine Lune modifie le comportement humain.

    Cette conviction s'est révélée suffisamment forte pour pousser certains chercheurs à tenter de trouver une corrélation entre les cycles lunaires et les suicides, les meurtres ou les dépressions nerveuses. Certains intellectuels fantastiques ont même été jusqu'à nommer ce phénomène "l'effet Transylvanie". 

    Du psychologique au physique

    Mais les résultats de ces études, certes passionnantes, ont été jusqu'à présent peu convaincants. En 1978, un article paru dans The Journal of Clinical Psychiatry (Le Journal de la Psychiatrie clinique) intitulé Agressivité chez l'homme et cycle lunaire synodique a provoqué une volée de réactions en affirmant que "Statistiquement, il y a une augmentation des cas d'homicides et d'agressions au moment de la pleine Lune... On soupçonne l'existence d'un rythme biologique de l'agressivité humaine en résonance avec le cycle lunaire".

    Pour les scientifiques américains James Rotton, Roger Culver et Ivan Kelly, une simple "méta-analyse" de la littérature parue sur le sujet les a amené à démentire cette idée toute faite. En 1996, ils ont publié un article dans la revue canadienne Skeptical Inquirer, titré The Moon Was Full and Nothing Happened (La Lune était pleine et il ne s'est rien passé). Selon les auteurs : "Les phases de la Lune ne représenteraient pas plus de trois centièmes de 1 % de la variabilité des comportements qualifiés de "folie", un chiffre trop minime pour être d'une valeur ou d'une signification réelles."

    Une réserve confirmée par le spécialiste français en chronobiologie (science de l'étude des rythmes biologiques touchant les processus vitaux d'un organisme vivant), Marc Schwob. Pour l'auteur de l'ouvrage Être au top à chaque heure (Éditions Hachette, 1998), aucune enquête n'a pu   clairement confirmer un effet de la Lune et les recherches les plus sérieuses rendent des résultats contradictoires. Il rapporte ainsi les résultats d'une étude américaine paris en 1967 : le suivi des maternités de New York entre 1948 et 1957 a démontré une recrudescence des naissances dans les jours précédents et suivants la pleine Lune. Uns seconde étude menée par le même auteur sur autant de nouveau-nées entre 1961 et 1963 montra une diminution des naissances durant la période de pleine Lune ! Bref, rien de bien concluant.

    Concernant le nombre de crimes et le taux de suicides imputables à la pleine Lune, "il y a, selon Marc Schwob, une évidente contradiction entre les statistiques et ce qui est constaté chaque mois à cette période par les professionnels, notamment les policiers et les infirmières d'asiles psychiatriques".

    Mais si les nuits de pleines Lune sont redoutées dans les urgences et chez les personnels en charge de psychotiques, comment peut-on expliquer un décalage entre l'observation empirique et les données statistiques officielles ?

    Pour la plupart des médecins, les statistiques sont menées sur des périodes trop courtes et sur des éventails de populations insuffisants. Ils assurent qu'il est inconcevable qu'un astre si proche ayant une incidence directe sur les marées ne puisse pas avoir d'influence sur la physiologie de l'être humain.

    Quoi qu'il en soit, depuis des temps immémoriaux, en admirant cette splendeur d'argent par une nuit sans nuages, le cartésien même le plus ardent devra reconnaître que la Lune semble nourrir de sombres mystères qui ne se dissiperont peut-être pas au grand jour.

    Profitons d'elle car la Lune réclame son indépendance. Des mesures effectuées au laser sur la distance Terre-Lune révèlent que le satellite s'éloigne progressivement de notre planète à raison de 3,8cm par an (soit un éloignement de 10 % de sa distance actuelle au bout d'un milliard d'années). Se sentirait-elle mal-aimée de la Terre ? Certainement pas puisque des milliers d'yeux se sont tournés vers elle lorsque, le 11 août 1999, elle s'est placée dans l'alignement du Soleil pour l'éclipser. La lumière était lunaire et il faisait froid. Effrayante Lune, non ?


    votre commentaire
  • En allemand, le terme Poltergeist signifie " bruit de fantôme ". En effet, les expériences de Poltergeist sont souvent bruyantes cependant leurs sources ne sont pas des entités fantomatiques. La cause des phénomènes de Poltergeist est la plus part du temps due à une personne et quelques fois à un groupe de personnes. Les études depuis 1950 semblent démontrer que l’agent impliqué dans une situation de Poltergeist est souvent impliquée dans une situation psychophysiologique instable. 

    Benjamin B. Wolman a recensé 116 cas de phénomènes de type Poltergeist. L’étude qu’il a faite de ces cas lui à permis d’en dégager certaines caractéristiques. Le choix de ces cas reposent sur quatre critères :

    Il s’agit de cas publiés depuis 1850 dans des revues professionnelles

    L’auteur se devait d’être présent

    L’auteur doit être une personne crédible

    Les cas doivent impliquer des incidences physiques.


    Les cas les plus nombreux ont été recensés aux USA (31) et 26 cas en Angleterre. Les anglo-saxons auraient-ils des pouvoirs P.K. plus élevés que la moyenne???

    Dans 25 de ces cas, les témoins présents étaient des membres d’organisation de recherche en place.

    Dans 19 autres cas, les policiers figurent comme principaux témoins.

    56 cas sont attribués à des femmes

    36 cas à des hommes

    La moyenne d’âge chez les femmes est de 15 ans

    La moyenne d’âge chez les hommes est de 17 ans

    32 cas impliquent des apparitions

    6 cas impliquent des voix.

    Caratéristiques des phénomèmes 

    Déplacement des objets dans des directions inattendues; parfois, les objets peuvent traverser des cloisons, des murs, des toits sans endommager les surfaces. Le phénomène est parfois accompagné de baisse de température pouvant aller jusqu'à 10 degrés. Les objets peuvent dégager une certaine chaleur pouvant aller jusqu’à la brûlure. On a vu très peu de cas ou les témoins ont été victimes de blessures de la part des objets. Les phénomènes peuvent durer d’une heure à dix ans. Il semble que la distance soit un facteur important au niveau du déplacement des objets. Bases psychophysiques et énergétiques. Champ psi semblable à un maëlstrom 

    Sur les 116 cas répertoriés par Wolman, 49 semblent avoir des désordres importants au niveau de la personnalité. Crises d’épilepsie, désordres de personnalité, périodes dissociatives ... Il est à noté que la majorité des agents responsables n’ont pas encore atteint l’âge adulte. L’adolescence avec ses moments de crises et sa plus grande vulnérabilité semble être un moment propice pour les phénomènes RSPK. Des événements stressants, des problèmes familiaux peuvent être à l’origine du déclenchement de la RSPK. Wolman répertorie 38 cas ou l’on retrouve des problèmes familiaux. Le Poltergeist serait une activation inconsciente d’une charge agressive symbolisée. Expressions extra-somatiques.


    votre commentaire

  • Ce sont les auteurs anciens qui nous ont rapporté cette légende. Tous leurs récits sur la Crète tournent autour du Labyrinthe.
    Monstre à corps d’homme et à tête de taureau, le Minotaure était le fils de Pasiphaé, femme de Minos, et d’un taureau envoyé par Poséidon, dieu de la Mer.


     

    Dédale est l’architecte supposé de ce Labyrinthe. Originaire d’Athènes, il a été forcé de s’exiler pour avoir tué son neveu.

    Il se réfugie en Crète, où le roi Minos, fils de Zeus et d’Europe, lui demande de construire un édifice pour y enfermer le Minotaure.

    Dédale imagine alors le Labyrinthe, « palais de la double hache », aux salles et aux couloirs si enchevêtrés qu’on ne peut en sortir.Plus tard, Minos ayant vaincu Athènes, la cité asservie doit payer un tribut de sept jeunes hommes et sept jeunes femmes, chaque année.

    Les victimes sont enfermées dans le Labyrinthe et sacrifiées au monstre. Ces sacrifices continuent jusqu’au jour où le héros Thésée tue le Minotaure. Grâce au fil déroulé par Ariane, fille de Minos, le vainqueur peut sortir des inextricables couloirs.

    Pour avoir déplu au roi, Dédale et son fils Icare sont enfermés dans le Labyrinthe. Ils s’en échappent en se fabricant des ailes avec de la cire. Icare s’approche si près du Soleil que ses ailes fondent. Il est alors précipité dans la mer, près de Samos, évènement à l’origine de la mer Icarienne.

     

      La découverte du palais de Cnossos

    En 1894, l’archéologue sir Arthur Evans arrive en Crète pour rendre la vie à l’île du roi Minos.

    Sous les vestiges grecs et romains, il trouve de nombreux témoignages de la civilisation minoenne.

    En 1900, Evans entreprend le dégagement du palais de Cnossos. Très vite, il met au jour une profusion de salles, de couloirs qui permettent d’éclairer les légendes d’un jour nouveau.

    Cette architecture très complexe est sans doute à l’origine des récits mythologiques sur le Labyrinthe.

    D’autant plus que de nombreuses fresques et sculptures représentant des taureaux ont été retrouvés.

    Evans a voulu restituer les grandes lignes du palais de Cnossos. Il a relevé les murs, les a peint de couleurs violentes et a donné des noms aux différentes salles. Cette reconstitution est aujourd’hui très controversée.


    En effet, si ces restaurations attirent un grand nombre de touristes, c’est du point de vue archéologique, une véritable catastrophe car les « morceaux » du complexe ont été choisis de manière arbitraire.

    Par contre, on doit à Evans une chronologie de la civilisation minoenne. Dans son œuvre maîtresse, The Palace of Minos at Cnossos, qu’il publie en 1930, il propose une chronologie en trois périodes, fondée sur la céramique.

     

      La Crète minoenne

    Les vestiges retrouvés, qui datent du IIe millénaire avant notre ère, montrent une civilisation brillante, qui utilise une écriture pictographique, et une économie riche, fondée sur le commerce.

    L’histoire de cette civilisation est marquée par des ruptures brutales. Aux alentours de 1750 avant notre ère, survient une catastrophe qui ravage l’île et abat les palais. Il s’agissait sans doute d’un tremblement de terre.

    La Crète se relève rapidement. Les palais sont reconstruits, encore plus grands et complexes. 

    Vers 1570 avant notre ère, un deuxième tremblement de terre, en rapport avec l’éruption du Santorin, détruit de nouveaux les palais.
    Cela n’empêche pas la civilisation minoenne d’atteindre son apogée.

    Vers 1450 avant notre ère, cette civilisation disparaît brutalement. La catastrophe n’est pas, cette fois-ci, naturelle. Il s’agit d’invasions venues de Grèce. De nombreux objets crétois, preuves du formidable butin, ont été retrouvés sur le continent, à Mycènes.

     

      Quelle était la fonction du « palais » de Cnossos ?

    Pourquoi ce palais a-t-il joui d’une aussi mauvaise réputation ? Peut-être qu’il ne s’agissait pas d’un palais mais d’un sanctuaire. Un sanctuaire dans lequel des victimes auraient été immolées. Ou, peut-être était-ce un lieu sacré servant de cimetière ?

    En effet, certains archéologues contestent au gigantesque édifice dégagé à Cnossos sa vocation de palais d’habitation.

    Ils ont constaté que le lieu géographique était peu judicieux pour un palais : exposé, difficile à défendre.
    De plus, les sources sont peu nombreuses autour du palais. L’approvisionnement en eau de toute une population aurait posé des problèmes.

    Les salles, présentés comme des appartements royaux, s’avèrent être plutôt des sous-sols humides, dépourvus de fenêtres.
    Enfin, ce « palais » ne dispose ni de cuisines, ni d’écuries.

     

    Selon l’archéologue allemand Hans Georg Wunderlich, le palais aurait été un immense mausolée destiné à recevoir les morts. Il n’aurait donc jamais été habité.

    Selon lui, les hautes jarres de terre ne contenaient pas du grain ou de l’huile mais étaient des urnes où les cadavres étaient conservés dans du miel.
    De même, les silos de pierre sont en réalité des sarcophages.

    Cette théorie est séduisante et collerait parfaitement à la légende d’un palais « maudit », abritant un monstre.
    Cependant, aucun squelette n’a été retrouvé ce qui ébranle fortement la théorie du sanctuaire.

    En fait, les deux théories ne sont pas vraiment convaincantes au vu des découvertes.
    On imagine mal un roi s’installant dans des pièces sans fenêtre. De même, l’absence de cuisines et d’écuries est inconcevable pour un édifice d’une telle importance.

    Le mystère reste donc pour le moment non résolu. Mais, les fouilles se poursuivent et Cnossos nous livrera peut-être un jour tous ses secrets.


    votre commentaire