•  La vraie philosophie secrète et traditionnelle ne fut écrite que plus tard sous des voiles encore moins transparents.
    Ainsi naquit une seconde Bible inconnue des chrétiens ou plutôt incomprise par eux.

     

    Tous les politiciens aux Etats-Unis sont Franc-Maçon, car c'est par ce biais qu'ils ont accès aux milieux politiques. Tous les présidents depuis Wilson, président pendant la Première Guerre mondiale faisaient partie des Illuminati, sauf Eisenhower qui était sous leur contrôle. Il y a environ 5000 personnes sur cette Terre qui connaissent bien les Illuminati, et des millions de personnes qui travaillent pour ces personnes-là. Il en est de même pour les francs-maçons. Seuls ceux qui en sont au 33àne degré du Rite écossais savent. Les autres ne savent pas. Ils possèdent toutes les grandes compagnies pétrolières du monde ainsi que toutes les maisons de vente par correspondance aux Etats-Unis et 90% des grandes surfaces. Tous les ordinateurs des caisses des Etats-Unis sont reliés à un ordinateur géant à Dallas, au Texas, appelé "The beast" (la bête). Celui-ci est, à son tour, relié à deux autres ordinateurs à Bruxelles et à Amsterdam, portant, eux aussi, le nom de "The Beast".

      

    ORIGINES


    L'institution maçonnique doit son existence à une confrérie de maçons constructeurs, qui voyageaient en Europe dès le 8e siècle. Ils se partageaient des secrets reliés à leurs métiers. On ne retrouve la première trace du mot "franc-maçon" qu'en 1376, sous la forme anglaise "freemason". Il faut voir dans le "freemason" un homme libre, (le préfixe free semble l'attester), un ouvrier hors du commun, bénéficiant de franchises accordées par l'église ou par les souverains, libre des obligations d'une corporation ou libre de naissance.


     

     C'est en grande Bretagne et surtout en Écosse, que l'on trouve au début du 17e siècle, les premières traces de la franc-maçonnerie moderne, soit la transition entre une maçonnerie de métier à une maçonnerie de pensée. En 1702, la loge londonienne Saint-Paul édictait que "les privilèges de la maçonnerie ne sont plus désormais réservés seulement aux ouvriers constructeurs mais, ainsi que cela se pratiquait déjà, ils seront étendus aux personnes de tous les états qui voudront y prendre part ". Commence alors l'histoire de la maçonnerie moderne, dite aussi symbolique.


    Le 24 juin 1717, jour de la Saint-Jean, les membres de quatre loges londoniennes se réunissent et fondent la Grande Loge de Londres, première fédération de loge maçonnique. En 1721, le grand maître de la loge de Londres demande à James Anderson, pasteur de l'église presbytérienne écossaise, de compiler les Old Charges (Anciens devoirs) des maçons et de rédiger de nouvelles constitutions.


    En 1723, James Anderson publie à Londres The Constitutions of Free-Masons. L'implantation par les Anglais des loges maçonniques en France se situerait vers 1725.
     

    En 1738, la première obédience française fédération des Loges voit le jour. C'est la Grande Loge de France. En 1773 apparaît une obédience rivale Le grand Orient de France. Si, en 1738, la Grande Loge de Londres se proclame Grande Loge d'Angleterre, c'est qu'elle compte alors des loges à travers tout le pays, et même dans ses colonies, en Amériques du Nord, au Canada et aux Indes. Les Anglais vont l'exporter jusqu'en Turquie, en Chine et même jusqu'au Nicaragua. Partout en Europe, c'est la contagion avec les pays bas comme le Luxembourg et la Hollande. Sont touchés aussi l'Allemagne, l'Autriche, la Hongrie, la Bulgarie, la Roumanie, la Grèce. La Suisse, tout l'empire de Russie, l'Europe méridionale et notamment, le Portugal.

     
     

    La franc-maçonnerie compte différents rites et rituels. Au nombre des rites encore en usage aujourd'hui, on trouve d'abord le rite écossais ancien et accepté, le plus pratiqué au monde. Né en France au début du 18e siècle, ce rite est composé de trente-trois grades. Le rite écossais rectifié remonte aussi au 18e siècle mais il comprend six degrés. Le rite français dit aussi rite moderne a sept degrés définis par le Grand Orient de France en 1786. Il a été plusieurs fois modifié. Il y a aussi le rite émulation et le rite d'York, le rite Misraim et le rite de Memphis. Publiquement, cette société se présente comme une organisation philanthropique, c'est-à-dire, axée sur les bonnes oeuvres et prônant des valeurs justes et morales. Mais, dans les faits, il en est tout autrement.

      

    Dans le livre "The Lost Keys of Freemasonery", Manly Palmer Hall, 33e degré, révèle que: "L'ordre maçonnique n'est pas qu'une simple organisation sociale mais elle est composée de tous ceux qui se sont liés ensemble pour apprendre et appliquer les principes du mysticisme et les rituels occultes". Les Maçons sont les druides contemporains écrit Albert Churchward, maçon du 33e degré.

    William Hutchinson nous dit que la franc-maçonnerie a emprunté plus de doctrines et de cérémonies aux druides qu'elle en a pris ailleurs. (Les druides anciens étaient des prêtres occultes qui adoraient plusieurs dieux, pratiquaient l'astrologie et offraient des sacrifices humains).

     

    Le vrai visage de la franc-maçonnerie n'est révélé qu'aux initiés de hauts niveaux. W. Wilmhurst, haut dignitaire des Loges, nous écrit dans The masonic initiation: "Pour ceux qui désirent seulement une organisation sociale agrémentée d'un peu de cérémonial pittoresque et fournissant une occasion de distraction ou de distinction personnelle, la maçonnerie ne sera jamais plus que la formalité qu'elle a toujours été et qu'elle est toujours pour beaucoup. Et, eux-mêmes resteront toujours dans l'ignorance de sa signification, de son but et de ses grandes possibilités". 


    Selon un article intitulé "Jung and Qabalah": Il est la fondation sur laquelle l'astrologie, le tarot, l'alchimie, la numérologie, la mythologie et la magie se basent. C'est une science occulte qui prétend mettre ses adeptes en communication avec le monde des esprits. Oswald Wirth nous révèle dans Le livre de l'apprenti, page 118, "Quantité de maçons s'imaginent connaître la maçonnerie, alors qu'ils ne soupçonnent même pas l'existence de ses mystères et de son ésotérisme". Albert Mackey nous dit que: "Les rites et les cérémonies, ses modes secrets d'initiation, ses traditions et ses légendes, ses bijoux et ses emblèmes ne sont pas des compositions sans signification arbitrairement adoptées pour plaire au goût et à la fantaisie de ses inventeurs".

      


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    Dans Le Livre du Maître d'Oswald Wirth, nous lisons à la page 22; " Reste à savoir si la franc-maçonnerie est oui ou non une religion. Cesserait-elle d'en être une parce que les autels de ces temples sont consacrés au culte de la liberté, de la fraternité et de l'égalité? Ayons le courage de nous dire religieux et de nous affirmer apôtre d'une religion plus sainte que toutes les autres. C'est ainsi que le premier effet de l'initiation est de purifier l'apprenti de toute mentalité chrétienne, s'il en a une... "


    Albert Pike, pontife de la franc-maçonnerie universelle, franc-maçon de 33e degré, grand prêtre de l'église satanique, déclara le 14 juillet 1889: "Ce que nous devons dire à la foule est que nous adorons un dieu mais, c'est le dieu que nous adorons sans superstition. A vous, grands inspecteurs généraux souverains, nous disons ceci pour que vous puissiez le répéter aux frères des 32e, 31e et 30e degré: La religion maçonnique devrait être par nous tous, initiés des hauts degrés, maintenue dans la pureté de la doctrine Luciférienne... Si Lucifer n'était pas dieu, est-ce qu'Adonaï (Jésus, le Dieu des chrétiens), calomnierait, c'est-à-dire, prendraient la peine de répandre des choses fausses et dangereuses sur son compte? Oui, Lucifer est dieu..." Cette déclaration fut faite à l'époque, aux vingt-trois conseils suprêmes du monde.

     

    Albert Pike écrit aussi: "Une partie des symboles sont divulgués a l'initié mais, ce dernier est intentionnellement induit en erreur. On ne veut pas qu'il les comprenne. Leur vraie explication est réservée aux érudits, aux princes de la maçonnerie".
    Il nous dit aussi dans ce livre à la page 744 et 745, qui fut préparé pour le suprême conseil du 33e degré de la juridiction sud des États-Unis: "La Bible avec toutes les allégories qu'elle contient, n'exprime que d'une manière incomplète et voilée, la science religieuse des hébreux...


    La vraie philosophie secrète et traditionnelle ne fut écrite que plus tard sous des voiles encore moins transparents. Ainsi naquit une seconde Bible inconnue des chrétiens ou plutôt incomprise par eux...

     

    Toutes les vraies religions dogmatiques sont issues de la Kabbale et elles y retournent... Toutes les associations maçonniques lui doivent leurs secrets et leurs symboles... (La Kabbale ou cabale est l'ensemble des traditions juives relatives à l'interprétation mystique de l'ancien testament. Il est un des plus anciens systèmes philosophiques occidentaux)

    Dans le Adelphi Quarterly (magazine Nouvel-Age) 3e, 1992, page 7, il est écrit que la franc-maçonnerie a été formée comme une école de la fraternité Luciférienne. Helena Petrovna Blavatsky, une sataniste reconnue et fondatrice de la société théosophique, aussi bien que ses successeurs Annie Besant et Alice Bailey étaient toutes impliquées dans la franc-maçonnerie.

      


    LE SECRET MACONNIQUE


    Seuls ceux qui en sont au 33àne degré du Rite écossais savent. Les autres ne savent pas!

    Il y a obligation contenue dans l'engagement que prend le profane en devenant Maçon de ne révéler à aucun "non-Maçon" tout ce qui a trait à la Franc-Maçonnerie. A chaque franchissement de degré, la même obligation pèse sur le récipiendaire à l'égard de ceux qui n'ont pas encore franchi ce même degré. Cette obligation au secret n'a pas été respectée en fait par un certain nombre de Maçons en raison du caractère pratiquement incontrôlable de la diffusion de tout texte une fois imprimé de sorte que même si l'intention de respecter le secret existait sans doute, la prudence n'était pas à la hauteur des intentions. On peut d'ailleurs en faire faire porter la responsabilité par ceux qui modifièrent les anciens textes du serment qui interdisait de a rien graver sur aucune chose mobile ou immobile. Mais la sémantique étant toujours révélatrice, on peut et doit se demander si, à l'origine de cette dégradation du texte du concret vers l'abstrait, il n'y a pas un doute quant à l'étendue réelle du secret et à son fondement. Il y a trois secrets maçonniques, objectifs qui sont le secret d'appartenance, le secret des Rites et le secret des délibérations:


    Le secret des délibérations est prescrit par exemple par le Règlement général du Grand Orient de France qui interdit de rapporter à un Frère ce que l'on dit à une Tenue à laquelle ce dernier n'a pas assisté. Il s'étend donc à tous les Frères absents quels que soient leurs grades ou leurs offices respectifs, hormis ce qui figure sur "la Planche Tracée".

     Le secret des Rites ne vaut qu'à l'égard de ceux des Frères qui n'ont atteint pas le degré en cause.

     Le seul secret qui ne concerne jamais un autre Maçon est le secret d'appartenance.

    Mais à l'égard des profanes, il n'a pas une portée absolue puisqu'un Maçon qui veut faire entrer un candidat en loge est obligé de se dévoiler. Théoriquement, cette faculté est réservée au Maître Maçon puisque, seul, il a le droit de présenter un profane. En. suite, les enquêteurs se dévoileront à leur tour, encore que l'on pourrait imaginer des méthodes qui éviteraient cette mise à découvert. On peut même se demander si les résultats des enquêtes n'en seraient pas améliorés. Cependant, en certains cas précis, les usages font que même le secret d'appartenance d'un Frère vaut à l'égard des autres Frères. En effet, certains Frères placés à des endroits «stratégiques» , en général dans les services publics, doivent être protégés contre les sollicitations abusives ou des indiscrétions, notamment de la part de ceux qui quittent l'Ordre. Le Vénérable de la loge du lieu de résidence ou de travail de l'intéressé connaît seul son appartenance et en fait usage avec prudence.


    Il convient en effet de noter que ce serment, lorsqu'il est fait au premier degré, s'opère indépendamment du serment maçonnique proprement dit et avant les épreuves. Ce qui implique que quitter la Maçonnerie n'entraîne pas le dégagement du serment qui a été prêté en tant que profane. Mais on peut toujours craindre le non-respect de la parole ainsi donnée. Il faut néanmoins reconnaître que, compte tenu du grand nombre de Frères devenus irréguliers, c'est à dire démissionnaires, radiés ou exclus, ceux qui ne tiennent pas leur promesse de secret sont finalement peu nombreux. Mais il y en eut qui firent des dégâts. Deux divulgations notamment sont célèbres, l'une dès le XVIIIème siècle et l'autre au début du XXème siècle.


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