• Nous connaissons bien les objets volants non identifiés ou ovnis. De nombreuses observations ont été faites depuis la nuit des temps.
    Par contre, nous parlons beaucoup moins d’engins sous-marins mystérieux que l’on pourrait baptiser osnis.
    Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les forces navales du monde entier ont fréquemment relevés la présence d’engins sous-marins dont les performances sont bien supérieures à tout ce qu’elles possèdent elles-mêmes.
    Ces engins non identifiés semblent se cantonner dans des lieux particuliers de la planète, dont notamment les eaux scandinaves et la côte est de l’Amérique du Sud.



    Performances des objets

    Tout d’abord, il faut préciser que de nombreux engins non rien de mystérieux. Les grandes puissances passent leur temps à s’espionner et beaucoup d’osnis ne sont sans doute que des sous-marins soviétiques ou américains.

    Par contre, certains témoignages sont vraiment troublants. Effectivement, certaines performances et comportements de ces osnis excèdent largement ceux des marines traditionnelles.
    On retrouve donc le même cas de figure entre les performances de notre flotte aérienne et celles de certains ovnis.

    Au début de 1985, la France lança le Nautile, sous-marin de recherche capable de descendre à 6 000 m et possédant des vitesses de montée et de descente élevées (1 m/s).
    Il s’agit d’un sous-marin de poche qui participe à de multiples campagnes françaises et internationales d’exploration des grands fonds sous-marins.

    Mise à l'eau du submersible de l'IFREMER le Nautile, en 1996. L'expédition visait à remonter des pièces de l'épave du Titanic échouée à 3 870 m de fond

    Le premier sous-marin nucléaire d’attaque français, le Rubis, a été lancé en 1979. Long de 72 m, large de 7,6 m, il déplace 2 400 t en surface et progresse en plongée à la vitesse de 25 nœuds (46 km/h).

    L’un des records de plongée pour un sous-marin normal est de 1 900 mètres.

    On peut constater que les osnis ont des performances très supérieures. Par exemple, pendant les manœuvres en Atlantique Nord de 1963, le porte-avion américain Wasp et douze autres vaisseaux détectèrent un engin énorme voyageant sous l’eau à 150 nœuds (280 km/h). Il les accompagna quatre jours, manoeuvrant au milieu d’eux et plongeant parfois à des profondeurs de 8 000 mètres. A cette époque, aucun submersible ne pouvait descendre à une telle profondeur et aller aussi vite ; c’est d’ailleurs toujours valable aujourd’hui malgré les progrès technologiques.

     

    Quelques exemples

    En 1978, il y eut une vague d’osnis en Italie. Plus de 500 rapports furent recueillis. Le long des côtes de l’Adriatique, la liste des phénomènes inexpliqués comprenait des colonnes d’eau s’élevant à 30 m par mer calme, des lumières rouges et blanches suivant les bateaux de pêche la nuit, des osnis sur ou sous la surface de l’eau, émergeant et plongeant en produisant des interférences électriques sur les radars, radios et télévisions.
    Les pêcheurs finirent par exiger une protection militaire pour sortir en mer.

    Le 1er août 1962, à 23 heures, trois pêcheurs français du port de Brusc, en Méditerranée, virent un long engin métallique qui se déplaçait à la surface de l’eau.
    Ils pensèrent que c’était un sous-marin. Puis, l’eau se mit à bouillonner autour de l’engin et une douzaine d’hommes-grenouilles émergèrent.
    Les pêcheurs les interpellèrent mais aucun ne répondit puis le dernier se tourna vers eux et les salua. Jusque là, rien d’extraordinaire.
    Seulement les pêcheurs ahuris virent l’engin s’élever, des lumières clignotèrent et l’étrange sous-marin accéléra pour ne plus devenir qu’un point lumineux dans le ciel.

    De telles activités ont été relevées un peu partout. Si l’on trie tous les rapports et que l’on retire les erreurs et les canulars, il reste des phénomènes inexpliqués.
    En avril 1967, deux jeunes danois virent un engin lâcher plusieurs objets dans le Kattegat, à 80 km au nord-est de Copenhague. Ceux que l’on récupéra se révélèrent, à l’analyse, composés de chaux et de « charbon non organique » mélangés à une matière totalement inconnue.
    Il est bien sûr impossible de citer tous les rapports. Par contre, il semble que de nombreux gouvernements aient porté un vif intérêt à toutes ces activités sous-marines. Ce qu’ils ont appris du matériel repêché depuis 60 ans demeure inconnu.

     

     D’où viennent ces osnis ?

    Autant préciser tout de suite qu’il n’existe aucune théorie scientifique à tous ces phénomènes. Par objectivité, je cite les thèses de quelques ufologues, qui personnellement ne m’ont pas convaincues. Mais, je vous laisse juge.

    En 1970, Ivan T. Sanderson, biologiste et fondateur de la Société pour l’investigation de l’inexpliqué, a publié un livre sur les « Résidents Invisibles ». Il y expose quelques cas analogues à ceux qui sont cité dans ce dossier.
    Il suggère que, sous les océans, vit une race plus vieille que l’humanité. En avance sur le genre humain, ils ont développé une technologie qui leur permet des exploits comme les voyages interstellaires.
    Pour l’auteur, les ovnis sont également leur création. Cette « race » dériverait des formes de vie qui ne quittèrent pas la mer pour évoluer. 

    Le Sognefjord, en Norvège, a été le théâtre d'une chasseà l'osni en 1972, infructueuse malgré les énormes moyens techniques

    De son côté, l’ufologue John Keel avance « qu’une force aéronavale clandestine opère sur cette planète ». Il suppose que ces bases sous-marines se situent près du cercle polaire.

    D’autres ufologues sont persuadés que des engins venus d’autres mondes ont établi des bases sous-marines sur Terre.

    Une chose est certaine, les mers et océans sont encore un monde inconnu et nul ne sait vraiment ce qui se cache dans les plus grandes profondeurs.


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