• Le plateau d'Albion en Provence est l'ancien site de lancement des missiles Sol Sol Balistiques de la France. Selon de nombreux ufologues, la base était à l'époque de son activité aux mains des gris une partie du personnel était d'origine extraterrestre.

     

     Dans les années 60, le Général De Gaulle veut une défense nucléaire utilisant les avions, les sous-marins mais aussi des missiles sol-air. En avril 1965 le gouvernement français choisit le site du plateau d'Albion pour implanter les missiles Sol Sol Balistiques car le site est correspond aux critères de sélection. La zone est à faible densité humaine et le sol est capable de permettre un bon ancrage des silos renfermant les missiles mais aussi capables d'amortir l'onde de choc en cas d'agression nucléaire. Il est prévu d'installer 27 Zones de Lancement et 3 Postes de Conduite de Tir (Pour cause de restrictions budgétaires, seuls 18 silos et 2 Postes de Tir seront implantés). Pendant plus de 5 ans, le plateau devient un immense chantier, les installations opérationnelles représentent 260 000 m3 de dérochage, 540 000 m3 de terrassements et de 150 000 m3 de béton.


    Les chemins départementaux sont transformés en un réseau routier moderne permettant le passage de convois de plusieurs centaines de tonnes. Une base aérienne (BA200) est créé sur une surface de plus de 400 hectares sur la commune de Saint Christol et plus de 2000 personnes y travailleront. Les travaux ne dénaturent pas le site, l'armée veillent à camoufler un maximum toutes les installations. Le site s'étend sur 800 km2, il englobe les installations de transmissions du Mont Ventoux, de la montagne de Lure et du Luberon. Les missiles sont commandés à distance depuis les 2 Postes de Conduite de Tir, enfouis sous terre. Chaque poste de tir a en charge 9 zones de lancement. L'un se trouve dans la Drôme près de Reilhannette et l'autre dans le Vaucluse près de Rustrel, à 35 km l'un de l'autre.

    Véritables bunkers dissimulés sous plusieurs centaines de mètres de roche, les Postes de Conduite de Tir sont conçus pour résister à toute attaque nucléaire, mais aussi pour éviter toute intrusion. Des galeries de 2 km de long y mènent. Une galerie souterraine de 4 m de diamètre, éclairée d'une lumière monte légèrement et interminablement, pour éviter une neutralisation ennemie par inondation. Elle présente des coudes à angle droit destinés à casser une onde de choc consécutive à une explosion nucléaire. Même rôle pour une galerie de roche appelée galerie anti-souffle. En cas d'effondrement de la galerie, un ingénieux système de puits hérité des Égyptiens permet de grimper jusqu'à l'air libre. Des clapets d'air, que l'on peut fermer, permettent une survie de longue durée aux 2 officiers qui se relaient en permanence.
     
    Dans la capsule de tir, il y a 2 locaux protégés par 3 m d'épaisseur de béton armé, montés sur vérins hydrauliques pour résister aux secousses, équipés en cage de Faraday et bourré d'écrans. 


    Chacun des silos est nanti de son abri auxiliaire, et distant de 3 km de son voisin afin qu'une seule attaque ne détruise plusieurs sites à la fois mais que des frappes nucléaires simultanées annulent leurs effets (2 explosions nucléaires simultanées annulent une grande partie de leurs effets mécaniques). Un agresseur devrait donc détruire un 1er silo, puis un 2ème, etc. ce qui laisse le temps de la riposte.

    En septembre 1996 le Président Jacques Chirac annonce la fermeture et le démantèlement du site du plateau d’Albion. En décembre 1996 le ministère de la défense annonce qu’un régiment professionnalisé de l’armée de terre (légion étrangère) d’au moins 1000 hommes, complété par une unité de contre-espionnage et un escadron cynophile succédera au 1er GMS sur le site. En mai 1997 le projet de transformer le Postes de Conduite de Tir de Rustrel en laboratoire scientifique est lancé. 

    A St Christol, les escadrons ont commencé à partir en août 1998 après les équipes du CEA et suivit en décembre des équipes de l'Aerospatiale. La passation de pouvoir avec la légion étrangère a été réalisée dans l'été 1999. Depuis, une centaines d'hommes séjournent plus ou moins en permanence sur la base aérienne.


    La base aérienne 200 a été rebaptisé caserne Maréchal Koenig. Elle accueille près de 1000 légionnaires. Depuis octobre 2003 la base accueille aussi une station d'écoute de la D.G.S.E. (Direction Générale de la Sécurité Extérieure) avec ses antennes radio qui emploie 150 personnes dans le cadre du réseau Echelon. Une fois démantelées, les installations du plateau d'Albion ont été rendu à la nature. Les portes ont été verrouillées et soudées et les zones de lancement recouvertes.


    LA BASE NUCLEAIRE ET LES OVNIS

    De source sure, après chaque ouverture réelle d'un silo, un ovni le survolait dans les 48 heures. Un immense vaisseau porteur plafonnait à une altitude de quelques milliers de mètre et larguait des sphèroïdes d'observation rapprochée. Un projet avait même vu le jour pour tenter d'observer ce phénomène. Les nombreux témoignages sur le plateau d'Albion proviennent tous plus ou moins des mêmes sources, ils ont été recueillis par Jimmy Grieu.

     Un instituteur à la retraite se promène à travers le chantier
    Au début des années 1970s, un soir, après l'arrêt des travaux de la journée, un instituteur à la retraite se promene à travers le chantier lorsqu'il tomba nez à nez avec un être de petite taille, à la tête volumineuse, à la peau grise, qui le fixe brièvement de ses grands yeux obliques avant de disparaître. Médusé, sans cacher la peur qu'il avait éprouvé, le retraité narre son histoire à une autre personne.

     Témoignage d'un appelé affecté à Albion en 1981


    « J'étais dans les commandos de l'air 3ème compagnie. A l'époque, notre mission était bien entendu la défense de la base de St Christol dont je faisais partie. Le plateau d'Albion disposait avant sont désarmement de 18 Zones de Lancement de missiles atomique, de 2 Poste de Commandement de Tirs et un en construction à l'époque... Les commandos étaient chargés d'effectuer des patrouilles régulièrement sur les différentes zones, dont la destination nous était donnée au dernier moment par radio en message codé lorsque nous quittions la base. Nous devions effectuer ces patrouilles environ toutes les 2 heures. la patrouille qui rentrait devait réveiller la relève qui prenait une mission vers d'autres zones. Un matin, je me suis réveillé vers 6 h et j'ai cru avoir raté ma patrouille qui était prévue vers 2 h et m'être rendormi. Après renseignements auprès du sous officier de semaine, il n'en était rien. La patrouille précédente avait déclenché l'alerte dans la nuit, signalant un objet non identifié en stationnement au-dessus de la ZL n° ? Dès lors, la gendarmerie mobile de la base et l'équipe d'intervention des commandos ainsi que le général de la base s'étaient rendus sur les lieux. L'alerte avait été donnée comme il se doit à la hiérarchie. Le surlendemain, un tout petit article dans le journal "le Provençal" précisait en quelques lignes brèves cet événement mais sans plus. C'était un sujet de discussions sur la base pendant quelques jours puis plus rien. Personne n'avait d'élément complémentaire. Cela restait donc une énigme. Quand je racontais çà dans mon entourage et au cours de discussions relatives aux phénomènes, je passais pour un demeuré.


    10 ans plus tard, en 1991, alors que je regardais une émission télévisée sur les phénomènes extra-terrestres, j'apprenais que ce fameux jour en 1981, les contrôleurs aériens avaient repéré par radar un ovni venant d'Espagne et se dirigeant vers les Pays de l'Est. 2 Mirages 2000 décollaient de la base d'Istres pour prendre en chasse l'objet lorsqu'il est entré dans l'espace aérien français. Cet ovni a donc été repéré et observé par plusieurs dizaines de personnes et non des moindres : contrôleurs aériens, commandos, gendarmes mobiles, station météo et certains gradés de la base dont le général. L'ovni quant à lui avait disparu, ne laissant à l'aviation aucune chance de pouvoir le rejoindre. Tout ceci à priori, s'est déroulé très rapidement. Néanmoins nous avons eu des informations réelles de ce qui s'est passé 10 ans après l'événement... De plus, à cette époque, j'habitais dans un village du Vaucluse, ou il nous est arrivé mon père et moi-même, de pouvoir observer à deux reprises des formes lumineuses passer à très grande vitesse dans le ciel et à courtes distances, mais nous n'en avions jamais parlé à personne pour les raisons que vous savez... »


     Un appelé Maître Chien à la fin des années 80 (témoignage enregistré le 10 octobre 1990)

    « J'ai été témoin de faits troublants durant mon séjour sur cette base. Je puis vous affirmer que de temps en temps des commandos totalement étrangers à la base prennent le contrôle de celle-ci pendant plus ou moins 48 h. Ils arrivent en convoi spécial, camions et voitures de couleur noire, leurs uniformes sont aussi de couleur noire, ils sont très grands avec une peau de couleur très blanche et portent en permanence des lunettes noires. Ces hommes ne se mélangent jamais avec les autres militaires de la base et ils prennent le contrôle total de celle ci, ils reçoivent leur nourriture par camions spéciaux et on ne peut que les apercevoir que la nuit. 

    Un soir j'étais de garde avec mon chien et je suis passé à proximité d'une grande salle en sous-sol qui ne possédait que quelques petites fenêtres en hauteur. En passant devant ces petites fenêtres mon chien est devenu très nerveux, j'ai alors regardé par une de ces fenêtres et là j'ai vu ces hommes en réunion. La nuit était totale et personne ne pouvait m'apercevoir. Cependant au bout de quelques instants un de ces hommes s'est retourné en direction de cette fenêtre - comment a-t-il su que j'étais là, je ne le sais pas - à ce moment là une peur incompréhensible s'est emparée de moi et mon chien est devenu complètement fou. J'ai tiré mon chien et je suis parti très vite continuer mon tour de garde.

    Un autre soir étant encore de garde, j'aperçois par une fenêtre d'un local hautement sécurisé des faisceaux de lampes torches comme si quelqu'un cherchait quelque chose, la base était depuis l'arrivée de ces commandos en stade maximum d'alerte. J'avertis par radio l'officier de garde de cette anomalie mais celui ci me fait comprendre de passer mon chemin et que je n'avais rien vu.

    Je ne sais pas pourquoi mais à la fin de mon tour de garde j'ai consigné cette observation sur un carnet.

    Le lendemain matin un officier me fait appeler pour me dire que ceux que j'avais vu la nuit précédente était certainement une hallucination. Par la suite en rentrant dans ma chambre, mon placard personnel avait été fracturé et mon carnet de note ainsi que mon appareil photo avaient disparu.


    Un ami aussi maître chien avait, lui, pu prendre des photos de certaines choses anormales et il avait aussi dessiné un portrait d'un de ces hommes. On a retrouvé mon ami sauvagement tabassé à l'extérieur de la base et bien sûr son placard avait été vidé complètement. Comment avait-il fait pour sortir de la base, alors que celle ci, en alerte maximum, personne ne pouvait sortir ? Ces blessures étaient tellement graves qu'un hélicoptère est venu le chercher pour le rapatrier à l'hôpital militaire de Laveran à Marseille.

    Quand ces commandos étaient sur la base, on avait interdit aux maîtres chiens certaines zones, l'explication des officiers étaient que "les chiens sont trop sensibles".

    Les chiens avaient une peur terrible de ces hommes, quand les commandos étaient sur place tous les soirs ils hurlaient en bavant anormalement et en se tapant la tète contre les grilles de leurs cages et cette situation était invivable. Au lever du jour tout redevenait normal.

    Le vétérinaire - appelé du contingent et faisant des études pour devenir vétérinaire - était très étonné de la réaction incompréhensible des chiens. Il a voulu en savoir plus et a fait des prélèvements de salive et de sang sur quelques chiens, mais un officier lui a ordonné de laisser tomber ces analyses.

    Quelques jours plus tard mon chien est tombé malade et un autre vétérinaire totalement étranger à la base est venu le chercher. J'ai protesté vivement car je pense qu'on aurait pu le soigner sur place. C'est alors qu'un capitaine est venu vers moi en me disant "c'est une affaire top secret". Par la suite j'ai su que mon chien était mort et qu'il avait subi une autopsie. » 

     Hommes en noir (1991)

    Le témoin travaille sur la base. Il confirme qu'effectivement il arrive que des commandos investissent le plateau d'Albion (la description des uniformes et des hommes concorde avec les autres sources d'informations). Ces hommes effectivement ne se déplacent que de nuit et prennent leurs repas indépendamment des autres militaires avec des rations qui leurs sont expédiées pour être totalement indépendant.


    Observation d'Ovnis (1991)

    Un officier de réserve du plateau d'Albion affirme que les pilotes d'hélicoptères de cette base ont à plusieurs reprises vu des ovnis sur le site et qu'il existe également un dossier top secret "ovni" avec des photos de ces engins. Il affirme également que des engins ont été observés pratiquement au ras du sol. 


    Découvertes spéléologique

    Des spéléologues amateurs décident d'explorer un gouffre à proximité du plateau d'Albion. Ils progressent dans diverses galeries et puits, et arrivés à un 3ème puits ils décident de prendre un peu de repos. Un des spéléologues Mr X décide de poursuivre et descend dans le puits. Arrivé au fond de ce puits il aperçoit une lumière bizarre, il avance et s'aperçoit que cette galerie est en fait une ouverture artificielle donnant dans une immense salle au sol blanc, lisse comme un miroir et éclairé par une lumière orange sans source apparente. Dans cette salle se trouve 5 ou 6 fauteuils blancs et de formes bizarres. Inquiet il décide de remonter vers ses camarades pour leur faire part de sa découverte. Les spéléologues décident donc de refaire surface et de revenir avec appareils photos et caméra vidéo. Quelques temps plus tard Mr X décide de revenir explorer ce gouffre, mais arrivé au 3ème puits, celui ci avait été totalement obstrué par une dalle de béton.


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