Les Érinyes,sont des divinités malfesante,elles sont aussi appelé bien plus tard les Euménides,puisque après avoir été acquitté,Athéna aurait obtenu d'elles qu'elles deviennent des divinités bienvaillante,qu'elles protège Athènes,bien que leur soif de vengeance sois inépuisable elles acceptent et finiront leurs vies comme gardiennes de la justice.

Elles sont les filles de Gaïa (terre) et du sang d'Ouranos après avoir été mutilé,elles sont des divinités chtoniennes.
Elles sont au nombre de trois l'on retrouve:

Mégère / Mégaira (la haine)

Tisiphone / Tisiphónê (la vengeance)

Alecto / Alêktố (l'implacable)

Lorsque qu'un crime était commis ou qu'une malédiction avait été lancé,elle poursuivait l'auteur des faits,le tourmentant sans cesse,elles le poursuivrait jusqu'à le rendre fou. S'il venait à décéder avant qu'elle n'est pu affligés la punition,elles le poursuivait jusque dans le Tartare. Elles sont juste mais non aucune pitié,ni les prières ou sacrifice ne peuvent les arrêtés,leur tâche sera accompli quoi qu'il en soit.
Il n'existe aucune circonstance atténuante que ce soit le parjure,la violation des rites,les crimes,tous ses faits ne peuvent être punis,même pour des crimes horribles par l'Olympe,s'est alors que les Érinyes sont envoyé afin de venger le mort.

Elles sont souvent comparé aux gorgones aux Grées où aux Harpies car il existe certaines ressemblances:

-De grandes ailes.
-des serpents à la place des cheveux.
-Elles arborent dans les mains des fouets ou des torches.
-du sang coule de leurs yeux

Dans l’Iliade, elles ôtent la parole à Xanthe, le cheval d'Achille, et privent Phénix de descendance. Le philosophe Héraclite dit que si le soleil décidait de renverser sa course, elles l'en empêcheraient. Dans Électre de Giraudoux, elles sont représentées par trois jeunes filles cyniques et méchantes à la croissance très rapide (de petite fille à adulte en quelques jours), appelées les Trois Euménides. Elles chantent des comptines satiriques sur les personnages de la pièce et vont poursuivre Oreste jusqu'à la perte de sa raison.