• D’étranges phénomènes se manifestent à travers le monde entier depuis déjà bien longtemps. Les scientifiques ont réellement commencé à s’intéresser aux cercles de culture au début des années 80.

    Les "crop circles" apparaissent notamment dans la campagne anglaise. Dans des régions, principalement céréalières, des dessins géométriques apparaissent comme par magie en une nuit, voire en quelques minutes.
    Les cercles de cultures sont souvent associés à l’apparition d’ovni. Les scientifiques qui se sont penchés sur ce mystère ont fait des découvertes passionnantes qui pourraient bien être un début de preuve d’une présence extraterrestre intelligente.


    Caractéristiques des cercles de culture

    Officiellement, le cercle le plus ancien a été mentionné dans un article de la revue britannique Nature au 19e siècle.
    Depuis 1980, rien qu’en Angleterre, on en a répertorié environ 800. Environ 9 000 cercles ont été répertoriés à travers le monde sur les trente dernières années.

    Tous les dessins géométriques sont d’une parfaite précision. Certains sont si imposants qu’ils ne peuvent être observés dans leur intégralité que par voie aérienne.

    Au fil du temps, les figures sont devenues de plus en plus complexes. Tout d’abord, ce n’étaient que des cercles puis peu à peu, ces cercles se sont transformés en figures d’une grande complexité.

     


    Dans les champs concernés, les tiges ne sont ni coupées, ni arrachées. Elles sont couchées puis soigneusement tressées selon un mouvement en spirale.
    Lorsqu’il s’agit de cercles concentriques, le sens de la spirale s’inverse dans chacun des cercles successifs.

    Les tiges ne sont pas couchées au sol de façon aléatoire mais entrelacées entre-elles de manière complexe.
    Le résultat est donc très différent de celui que l’on obtiendrait si l’on marchait dessus.

    L’analyse chimique des céréales couchées à l’intérieur des cercles de culture indique que ces tiges ont été soumises à une intense chaleur pendant quelques secondes.
    Dans un des cercles en Angleterre, les analyses ont révélé la présence de 10 radioéléments rares que l’on ne trouve pas habituellement dans les plantes :

    Lead 208  Europium 146  Tellurium 119 m  Lodine 126 Bismuth 205 Vanadium 48 Protectinum 230 Ytterbium 169 Rhodium Ces radioéléments n’existent pas à l’état naturel. Il faut des cyclotrons ou des réacteurs à fusion pour les synthétiser.

    Depuis 1993, les analyses ont été renforcées. Des minuscules billes de fer ont été découvertes dans la majorité des cercles. Le fer est absolument pur. Il pourrait donc s’agir d’une couche météoritique.
    Les billes sont toujours découvertes à l’intérieur des cercles mais jamais à l’extérieur.

     

     Des OVNIS à proximité des cercles de culture

    Au mois de juillet 1982, Ray Barnes promenait ses deux chiens dans un chemin, près du village de Westbury. Soudain, il observa l’étrange comportement du vent dans un champ de céréales. Cet « invisible agent » traça une ligne, s’arrêta, fit demi-tour et, avec un sifflement et un froissement, aplatit les céréales en dessinant un cercle de 30 à 45 m de diamètre presque parfait.

    Ce témoin ne vit aucun objet étrange.

    Par contre, l’Angleterre a été victime d’une véritable invasion de disques argentés. Depuis 1964, le nombre d’ovnis observés dans certaines campagnes anglaises est très important.

    Mais, existe-t-il un rapport entre ces observations multiples et l’apparition des cercles de culture ? 

    Certains témoignages font état de rayons de lumière au-dessus des champs. De nombreux témoignages parlent de petites boules ou sphères de lumière orangée qui se déplacent au dessus des champs dans lesquels apparaissent par la suite des cercles.

     

     Cercles et mathématiques

    Le plus troublant dans ces figures est leur précision mathématique. Cela exclu le phénomène naturel.
    Certains mathématiciens ont étudiés les figures. Ils ont le sentiment qu’ils relèvent d’une géométrie holistique qui permettrait une autre approche des mathématiques.
    Ces cercles pourraient, selon eux, représenter un prolongement de nos connaissances actuelles.

     

     Supercheries et canulars

    En 1991, d’après les recherches de George Wingfield, la CIA et le British Ministry of Defence incitèrent deux retraités, David Chorley et Douglas Bower, à déclarer qu’ils étaient les auteurs des cercles observés.

    Ils firent une démonstration de leur technique devant les caméras :

    Une planche sur laquelle on s’attache un pied
    Une corde reliée à un point central qui permet de tourner de manière symétrique
    Autant dire que si, à l’époque, les médias ont avalé cette histoire, elle est loin d’être convaincante.
    En effet, les deux hommes n’ont pu expliquer comment des cercles sont apparus de manière simultanée dans plusieurs pays, l’Angleterre, les USA et la Russie.
    De même, ils n’ont pu expliquer comment ils avaient pu réaliser des figures de près de 700 m d’envergure en si peu de temps. 

    Enfin, soulignons que les pictogrammes apparaissent dans tous les pays du monde y compris au Canada ou au Japon.

    Par contre, il est certain que depuis 1991, la démonstration médiatisée des deux hommes a fait de nombreux émules. Et, il est certain que de nombreux plaisantins, la nuit venue, piétinent allègrement les champs de leurs voisins, une planche au pied.

    Certains falsificateurs ont même été encouragés par de grandes chaînes de télévision et des magazines. Le Gardian, un magazine allemand, a organisé un concours de cercles de cultures.

    Cependant, l’avantage de ces concours, auxquels étaient conviés les scientifiques étudiant la question, est qu’ils ont permis de montrer la différence entre le piétinement humain et les cercles non falsifiés.L’altération de la structure moléculaire ne peut être obtenu par un simple piétinement des plaisantins.

     
     Un étrange message

    Un seul message utilisant un langage proche de l’alphabet humain a été découvert. Il est apparu en Angleterre. Le langage utilisé a été analysé par 12 scientifiques. Ils ont finalement retenu deux mots rédigés à partir, selon eux, d’un alphabet latin très rare, inventé par les francs-maçons.

     

    Le message pourrait se traduire par : »nous sommes opposés à toute fraude et supercherie ».

    Ce message est apparu en 1992.

    Personnellement, si je ne remets pas en cause l’existence des cercles de culture, je suis très sceptique quant à l’authenticité de ce message, apparu, comme par hasard, peu de temps après la démonstration de nos deux retraités anglais.Je pencherai plutôt pour un homme (ou une femme), excellent linguiste, et agacé par les charlatans ou les tentatives de manipulations des autorités.Si ces extraterrestres avaient la possibilité de communiquer autrement qu’avec des formes géométriques, je suppose qu’ils le feraient.


    Les théories scientifiques

    Autant dire tout de suite que les avis sont très divergents.

    Une théorie met en avant que ces dessins géométriques sont produits par un tir aérien d’origine militaire, à l’aide d’un canon laser à micro-ondes piloté par ordinateur. Plusieurs arguments viennent appuyer cette thèse :

    Phénomènes d'origine électromagnétique observés sur les lieux : boussole affolée
    Perturbation d'appareils électroniques
    Perturbation des radiofréquences
    Animaux incommodés
    Cependant, si cette théorie peut éventuellement s’appliquer aux figures les plus récentes, elle n’explique pas les apparitions les plus anciennes. Sans remonter au 19e siècle, en 1945, on ne disposait pas d’une telle technologie.

    On peut faire la même remarque concernant la théorie qui accuse l’armée américaine de tester certaines armes en dessinant à l’aide de satellites ces figures.

    Une équipe de scientifiques américains a émis une autre théorie. Il s’agirait d’un plasma atmosphérique, d’une masse d’air constituée de particules électriques hautement chargées qui descendraient à la surface de la Terre.
    Elles laisseraient à leur point d’impact les cercles de culture. Les aurores boréales sont un exemple de phénomènes dus aux plasmas.


    La preuve d’une vie extraterrestre intelligente ?

    Si l’on part du principe que ces dessins ne sont ni d’origine naturelle, ni d’origine humaine, il ne nous reste que peu de possibilités.

    Seulement, on se heurte toujours à la même question. Pourquoi venir sur Terre, se faire remarquer par de tels dessins pour finalement repartir aussitôt ?

    Certains y voient des messages, d’autres une aide technologique. Dans quel but ? Le fait que de nombreux cercles soient proches des mégalithes d’Avebury et Stonehenge a bien sur encouragé de nombreuses personnes à y voir une explication surnaturelle ou paranormale.

    On ne peut nier que ces cercles existent et que leur analyse représente une énigme. Aujourd’hui, ils ne sont plus de formes circulaire et n’apparaissent plus uniquement dans les champs céréaliers.
    On en trouve dans des rizières, des forêts de conifères et sur les montagnes enneigées de Turquie.

    On peut difficilement accuser un plaisantin de faire de l’alpinisme pour aller dessiner en haute montagne.


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  • Le soir du 2 juillet 1947, des témoins voient un disque traverser le ciel puis exploser en partie au-dessus d’un ranch près de Roswell, au Nouveau-Mexique.


    Le 8 juillet, l’armée publie un communiqué affirmant qu’elle détient les restes d’un OVNI. Mais, un OVNI s’est-il bien écrasé à Roswell en juillet 1947 ? Des corps extraterrestres ont-il été découverts et autopsiés ?
    Plus de 50 ans après les faits, de nouveaux témoignages éclairent d’un nouveau jour l’affaire Roswell.

    Le premier communiqué de presse de l’armée reste, à ce jour, le seul aveu officiel de l’existence des OVNIS jamais fait par les autorités américaines.
    L’US Air Force n’a pas tardé à le regretter puisque après cette date, un filtrage des informations est systématiquement mis en place, et celles-ci sont classées « ultra top secret », ainsi que le mentionne une lettre du sénateur Barry Goldwater.


    Le crash de Roswell

    Au cours des trois jours qui ont précédés le crash de Roswell, il y a eut 88 apparitions d’OVNIS dans 24 Etats.
    La nuit du 2 juillet, c’est au-dessus du ranch de MacBracel qu’un disque semble frappé par la foudre, dispersant une grande quantité de débris au sol.
    Il poursuit néanmoins sa route avant de s’écraser près de la ville de Magdalena, à plus de 250 kilomètres de là.

    Selon les spécialistes des OVNIS, cette photo prise en 1967, montrerait un engin spatial au dessus de Zanesville, dans l'Ohio. C'est le même genre d'objet qui a été observé à Roswell en 1947

    MacBracel prévient avec du retard le shérif de sa découverte qui se rend sur les lieux. Il déclarera avoir vu de nombreux débris, une zone noircie et 4 corps étranges.
    Il avertit alors la base militaire la plus proche. Ce n’est que le 6 juillet que l’officier chargé du renseignement à la base de Roswell, le major Jesse A.Marcel, et l’agent du contre-espionnage Cavitt, se rendent sur les lieux.

    Ils découvrent un très grand nombre de fragments légers, rigides et extrêmement résistants. Certains portent des symboles indéchiffrables.
    Il y a aussi un morceau plus gros que les autres, presque circulaire, et d’environ 3 mètres de diamètre.

    Une partie des débris est expédiée le jour même à Washington, via la base de Fort Worth, au Texas.
    Le destinataire est le général McMullen.

    Le 8 juillet, l’armée publie un communiqué affirmant qu’elle a récupéré un OVNI. Le communiqué ne mentionne pas les corps que le shérif affirmait avoir vu.

    Trois heures après ce premier communiqué, le général Ramey fait diffuser un rectificatif disant que les débris sont ceux d’un ballon météorologique équipé d’un réflecteur de radar d’un modèle courant.

    On peut se demander comment un officier de l’armée de l’air a pu confondre un simple ballon-sonde avec un engin spatial.

    Ce même jour de 1947, un avion arrive à Roswell de Washington avec une équipe chargée de superviser la récupération des débris.

    Le 9 juillet, accompagné par les militaires, le fermier McBracel donne une conférence de presse. Lui aussi revient sur sa première déposition et affirme qu’il s’agit d’un ballon-météorologique. Il n’y a plus d’OVNI ni de cadavres.


    L’armée de l’air s’est encore contredite avec deux rapports publiés dans les années 1990 dont « The Roswell Report » rendu public en 1994.
    Une version officielle affirme que l’armée de l’air a réalisé des essais d’impact en utilisant des mannequins qui pouvaient ressembler à de petits cadavres.
    Le problème est que ces mannequins mesurent 1,80 m et pèsent 85 kg pour simuler les pilotes.

    Une autre version, toujours officielle, affirme que l’armée travaillait sur un projet top secret appelé « Mogu 1 », qui consistait à contrôler les essais nucléaires soviétiques en lançant des ballons munis d’équipements acoustiques.

    Le moins que l’on puisse dire est que l’armée américaine a beaucoup de mal depuis 50 ans à concocter une version unique et convaincante.

    Et finalement, si l’affaire Roswell est devenu un mythe, on le doit bien à cette même armée si soucieuse de fournir des preuves mais qui se refuse par contre à fournir les rapports classés top secret sur cette affaire.

     

     Des cadavres d’extraterrestres

    Un témoin, l’ingénieur Grady Barnett, qui résidait à Roswell au moment des faits va relancer l’affaire.
    Il affirme, le 3 juillet, avoir découvert un disque de 8 à 10 mètres de diamètre, ainsi que quatre cadavres.
    Rejoint par les membres d’une équipe de recherche archéologique de l’université de Pennsylvanie, il est empêché de continuer ses recherches par des militaires qui encerclent le secteur.

    Il a confié à son ami, Vern Maltais, ce qu’il avait vu ce jour là :

    « Alors qu’il revenait d’une de ses inspections, il s’est retrouvé face à un disque ovale qui venait de s’écraser. A côté, quatre créatures gisaient sur le sol qui portaient des combinaisons d’un vêtement gris d’une seule pièce ».

    On remarquera que le nombre de « cadavres » coïncide avec le témoignage du shérif. Cependant, le témoignage de ce dernier diffère légèrement.

    « Ils avaient de grosses têtes. Les vêtements qu’ils portaient ressemblaient à de la soie. L’un deux était encore en vie ».

    Si la soucoupe volante était presque intacte, pourquoi il y avait-il autant de débris dans le champ ? D’après les témoins, ils s’étalaient sur une superficie d’une longueur d’un kilomètre sur 70 à 100 mètres de large.

    Certains spécialistes de l’affaire ont avancé l’hypothèse qu’il n’y avait pas un mais deux engins. L’un des engins aurait été pulvérisé lors de l’accident.


    Il existe deux autres témoignages de la présence de corps:

    Témoignage indirect de Glenn Dennis

    En 1947, Glenn Dennis travaillait aux pompes funèbres. Il faisait également office d’ambulancier.
    Alors qu’il ramenait à l’hôpital des pilotes blessés de la base de Roswell, il vit de nombreux débris dans les jeeps militaires.
    Il pensa tout d’abord qu’il y avait eu un accident d’avion. Mais, il fut surpris de la réaction de la police militaire. Cette dernière, affirme t-il, le menaça de mort s’il révélait ce qu’il venait de voir.

    Glenn Dennis fréquentait au même moment une jeune sous-lieutenant qui travaillait à l’hôpital militaire.
    Voilà les déclarations qu’elle lui fit le soir même :

    « Je me suis dirigée vers une salle d’examen. Lorsque je suis entrée, il y avait deux médecins dans la salle. Ils étaient en train d’examiner trois corps dont deux très mutilés. Il s’agissait de corps étranges ».

    C’est la dernière fois que Dennis vit sa petite amie. Le lendemain alors qu’il prenait de ses nouvelles, on lui répondit qu’elle avait été transférée. Ils ignoraient où mais elle n’était plus à la base aérienne.
    Qu’est devenue cette femme ?

    Corso a travaillé plusieurs années au Pentagone. C’est certainement l’un des témoins les plus influents. Dans son livre intitulé « Au lendemain de Roswell » publié en 1997, il affirme avoir été responsable de l’implantation de technologies extraterrestres au sein de l’armée américaine.
    Cet officier faisait partie du National Security Council (d’influents conseillers du Président).

    Corso dit également qu’à l’époque il a vu 5 caisses dans un hangar. Dans l’une des caisses, il y avait un corps qui flottait dans une substance liquide. Le corps ne faisait pas plus d’1,20 m. Il décrit l’extraterrestre ainsi :

    « La poitrine était relativement étroite. La peau avait une teinte grisâtre. La tête était grande par rapport au reste du corps. Les yeux étaient légèrement obliques et recouverts d’une sorte de filament »

    Il écrit également avoir eu entre les mains le rapport d’autopsie des corps retrouvés le jour du crash.

    Il est à souligner que ce livre, bien qu’intéressant, n’apporte aucune preuve tangible à ce dossier.
    Bien sur, on peut se demander pourquoi un membre des services de renseignements à la retraite s’amuserait à publier un ramassis de mensonges.

    Nous avons donc, apparemment, plusieurs personnes qui affirment, directement ou indirectement, qu’il y avait bien des corps non humain à proximité de l’engin spatial.

    Qu’en est-il alors du film de cette fameuse autopsie d’un extraterrestre qui a fait le tour du monde en 1995 ?

     Autopsie d’un extraterrestre

    En 1995, un film créé l’évènement dans le monde. Il s’agit de la présumée autopsie de l’un des corps récupéré à Roswell.
    Ce film aurait été acheté par un producteur britannique, Ray Santilli, à un ancien cameraman de l’Air Force, Jack Barnett.
    Ce dernier aurait fait partie de l’équipe de tournage de la première explosion atomique américaine, à Trinity, le 16 juillet 1945.
    En 1947, il aurait également filmé pour l’US Air Force les essais du Little Henry, un prototype de l’hélicoptère XH-20 de la firme McDonnell.

    Malheureusement, après vérifications, Jack Barnett n’a jamais été mentionné dans la liste des cameramen de Trinity.
    Cet homme est en fait mort en 1967.

    Les origines de ce film sont donc plus que douteuses. Cela n’a pas empêché Santilli de le vendre à plus de 20 pays en 1995.

    A première vue, ce film sent l’arnaque et le montage. L’ »extraterrestre » que l’on y voit mesure près d’ 1,60 et possède 6 doigts.
    Les témoins de 1947 en ont mentionné 4 ou 5 maximum.

    Il n’y a qu’un seul détail qui mérite réflexion. Corso pense d’ailleurs que bien que faux, ce film comporte une part de vérité.
    Effectivement, dans le film, on voit un des médecins prélever une sorte de paupière. Or, cette « paupière » d’après les rapports d’autopsies qui auraient été effectués en 1947 était un capteur de lumière qui permettait aux créatures de voir dans l’obscurité.

    Ce détail n’a bien sûr jamais été révélé à personne.

    Depuis 1995, Santilli n’a jamais voulu fournir pour analyse des portions du film original ce qui ne plaide pas en sa faveur.
    Les copies ne permettent aucune analyse concluante. Plusieurs dizaines de personnes sont probablement impliquées dans la réalisation de ce film. Officiellement et de toute évidence d'ailleurs, ce film est un faux.

    Peut-être que parmi elles, certaines ont réellement été témoin de quelque chose ce qui expliquerait certains détails troublants.
    Quoiqu’il en soit, aucune d’elles ne s’est à ce jour fait connaître.

     

     Occupants des engins spatiaux et étrange matériau

    L’enquête la plus sérieuse qui a été menée sur l’affaire Roswell provient des Dr Jean Sider et Leonard Stringfield.
    Le portrait robot qui suit est appuyé sur le témoignage du Dr Wiesberg, de Nicolas von Poppen, spécialiste d’analyse photographique des métaux, engagé par l’armée pour prendre des clichés du vaisseau accidenté, et du sergent Melvin E.Brown, un des membres de l’équipe chargée de récupérer les restes de l’épave.

    Il n’existe que des témoignages fragmentaires des médecins qui auraient autopsié les occupants du disque. Leur recoupement, opéré entre autres, par le chercheur Leonard Stringfield, donne le portrait suivant : 

    Taille entre 1,20 et, 1,30 m
    Tête chauve
    Tête proportionnellement plus grosse que chez l’homme
    Grands yeux écartés et un peu bridés
    Pas de lobes d’oreilles autour de l’orifice auditif
    Nez pratiquement inexistant
    Bouche réduite à une simple fente
    Jambes et bras très fins
    Mains à 4 ou 5 doigts
    Légère palmure entre les doigts
    Peau rude et grisâtre
    Sang de type inconnu


     
    De même, lors de leur enquête, ils ont pu récolter des témoignages des chercheurs qui ont travaillé sur les débris récupérés.

    La composition des débris n’a jamais été identifiée. Il a été impossible de découper cette tôle, ni d’y faire une entaille, ni de la brûler.

    Pour ces deux hommes qui ont mené une enquête et interrogé de nombreux témoins, il s’est incontestablement passé quelque chose d’important et de tout à fait insolite au Nouveau-Mexique.
    Quelque chose de si décisif que c’est à la suite de cette affaire qu’il fut décidé de classer « ultra top secret » tous les cas attesté d’OVNIS.

     

     D’étranges hiéroglyphes

    Plusieurs témoins de 1947 ont affirmé que certains débris comportaient d’étranges inscriptions.
    Les témoignages directs sont cependant intervenus qu’en 1978. Il s’agit notamment du témoignage du fils du major Jesse Marcel.
    En effet, en 1947, le major avait ramené chez lui quelques débris pour les montrer à sa femme et à son fils avant de les ramener à la base.
    En 1978, son fils, Jesse Marcel Jr, a fait d’étonnantes révélations :

    « Ce qui différenciait les pièces, c’était une série d’inscriptions. La poutre en forme de « I » comportait une sorte d’écriture.
    Cela ressemblait à des symboles et formes géométriques ».

    Ces inscriptions ont suscité l’attention d’un grand nombre de chercheurs. Les efforts entrepris pour essayer de les déchiffrer ont abouti à des résultats mitigés selon les rapports de ceux qui enquêtent sur cette affaire.

    Une source amérindienne les traduit par « les guerrières sont prêtes ».

    Une autre traduction d’origine méditerranéenne rapproche les symboles du grec ancien et cela se traduirait par le mot « liberté ».

    Difficile de se faire une réelle idée sur ces symboles qui n’ont été analysés qu’à partir de quelques fragments.

      Quoiqu’il en soit, aucun ballon-sonde ne comporte sur sa structure de telles inscriptions. De plus, leur descriptif ne ressemble en rien au soi-disant adhésif à fleurs retrouvé dans les débris dont parle l’armée américaine dans un de ses rapports.

    Mais, on peut également se demander pourquoi une civilisation extraterrestre utiliserait de l’ancien grec pour orner ses vaisseaux.


    Roswell : OVNI ou non ?

    Comme vous pouvez le constater, l’affaire est loin d’être aussi simple que certains sceptiques et de nombreux médias veulent bien le dire.

    Il existe bon nombre d’autres témoignages sur cette affaire dont celui de Bond Johnson, un journaliste, appelé en juillet 1947, pour photographier les débris de l’accident. C’est d’ailleurs le seul représentant des médias à avoir pu voir ces débris.

    Il est impossible de tous les citer à moins d’écrire un livre.

    La question que tout le monde se pose est : Qu’est-il tombé du ciel le 2 juillet 1947 ?

    Seule l’armée de l’air pourrait répondre à cette question et nous connaissons leurs différentes versions peu convaincantes et surtout très contradictoires.

    La théorie du météorite est quant à elle totalement invraisemblable pour la simple raison que l’objet n’a laissé aucun impact du type cratère.

    Cependant, près de 60 ans après les évènements, de nombreuses personnes poursuivent leur enquête et continuent à chercher des réponses aux différentes questions.

    Où sont passés les débris analysés à Wright-Patterson ?
    Où sont les rapports d’expertise ?
    Qui est à l’origine du film d’autopsie ?
    L’énorme essor technologique qui s’est produit après la Seconde Guerre mondiale a-t-elle un rapport direct avec le crash de Roswell ?
    Personnellement, après avoir lu plusieurs ouvrages, consulté différents rapports et rassemblé les éléments les plus sérieux sur Roswell, j’en suis arrivée à la conclusion que l’affaire Roswell n’est pas un mythe, ni le fruit des élucubrations de quelques ufologues.

    Il existe trop de témoignages concordants pour que l’on puisse ignorer ou traiter par le mépris le cas Roswell.
    Il commence à y avoir quelques failles dans le mur du silence qui entoure l’affaire depuis 1947.

    Le nombre de témoignages importe peu en fait. La seule preuve qui pourrait nous donner la solution à cette énigme serait que l’on puisse analyser publiquement les débris récupérés.

    D’ailleurs, je ne suis pas la seule à le penser puisque le centre international de recherche sur les OVNIS de Roswell offre un million de dollars à celui qui lui apportera l’un de ces débris après authentification.

    Tant qu’il n’y aura pas de nouvelles preuves de ce type, Roswell restera dans les énigmes de notre histoire.


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  • De nos jours, une amazone désigne une femme qui monte à cheval avec les deux jambes du même côté. Cela montre à quel point le mythe des amazones a franchi les siècles. Le nom grec « amazones » signifie « celles qui sont privées d’un sein ».


    Cette appellation fait peut-être référence au fait que ces femmes se coupaient un de leur sein pour tirer plus facilement à l’arc.Une citation de l’historien grec du Ier siècle avant notre, Diodore de Sicile fait référence à de farouches guerrières qui pratiquent les arts de la guerre.Mais, le mythe des amazones nous vient principalement d’Hérodote, grand voyageur et très certainement le premier historien grec.Cependant, Hérodote croyait aux dieux et ses récites comportent de multiples références à des mythes et des légendes.Même si nombre de ses références historiques s’avèrent exactes, on ne peut que prendre du recul face à ses informations.Néanmoins, certaines découvertes peuvent nous amener à nous demander si les amazones ne sont pas un peu plus qu’un simple fantasme masculin.

    Mythes sur les Amazones

    Beaucoup d’auteurs, à différentes époques, ont écrit sur ce thème. Selon la coutume, ces femmes servaient dans l’armée pour une période déterminée durant laquelle elles conservaient leur virginité.
    Ensuite, elles pouvaient s’accoupler mais conservaient le pouvoir et toutes les responsabilités des affaires de l’Etat.

    Pour perpétuer la race, les Amazones se rendaient une fois par an, chez les Gargaréens, pour s'accoupler. Les nouveaux-nés mâles étaient tués ou renvoyés chez leurs pères.

    Pour être crédible, le mythe devait se dérouler dans une région inconnue des Grecs. A l’origine, ils situaient le peuple des amazones dans la région du Caucase.
    Mais, quand les Grecs colonisèrent cette partie du monde, ils ne trouvèrent aucune trace de ce peuple mythique.

    Cela n’était pas un problème. On révisa tout simplement la légende et on plaça le royaume beaucoup plus loin à l’est.

    Selon Hérodote, elles avaient migré en Scythie, près de l’actuelle mer d’Azov.

    Ce mythe n’est pas purement grec d’ailleurs. Bien après la fin de l’Antiquité, les amazones sont citées par plusieurs explorateurs dont Marco Polo.
    Mais aucune preuve n’est jamais venue étayer ces affirmations.

     

    Y a-t-il un fond de vérité dans cette légende ? On sait que dans certaines sociétés anciennes, telle la société nomade des Kourganes en Russie, les femmes étaient traitées comme les égales des hommes.

    Il est bien sûr possible que le mythe provienne de descriptions déformées de ces pratiques, inconnues dans le monde grec.

     Le combat des Amazones et des Grecs, détail d'un vase attique, IVe siècle avant notre ère

    Il semble qu’il y ait eu des sociétés dans lesquelles les femmes participaient à l’art de la guerre.
    On a retrouvé un tombeau dans le sud de l’Ukraine qui contenait plusieurs squelettes de femmes enterrées avec des armes. Certains indices archéologiques semblent démontrer que des femmes, à cheval, ont guerroyé. Par exemple, les os incurvés d’une femme découverts dans une tombe du Kazakhstan attestent une vie passée à cheval.


    Certains historiens pensent d’ailleurs que des tribus primitives et matriarcales seraient à l’origine du mythe des centaures.

    Il est probable que le mythe des amazones se fonde sur une certaine réalité. Pour les Grecs dont la société était dominée par les hommes, nul doute que les amazones représentaient un fantasme.
    Cette image inversée avait un impact incontesté sur l’imagination des hommes.

    Jusqu’à quel point ces cultures pratiquaient le matriarcat ? Cela reste à découvrir.


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