• Hors norme, le Russe Fédor Machnov mesurait 2,82 m pour 187 kg.

     

     

    L'Américain Isaac Spragues se met subitement à maigrir à l'âge de dix ans pour ne plus peser que 20 kg jusqu'à la fin de sa vie, tout en ayant une taille normale. Tout aussi maigre est son compatriote J. R. Bass après une «ossification» totale des articulations qui l'immobilise entièrement jusqu'à la fin de ses jours.

     


    Célèbre dans le monde entier pour sa prestation dans le film Freaks de Tod Browning (1932), l'Américain Johnny Eck, dont le corps s'arrête à la taille et qui ne pèse que 28 kg, est un sportif et surtout un musicien émérite à qui il arrive de diriger l'orchestre de Baltimore.

     

    Jumeaux. Giovanni et Giacomo Tocci partagent le même corps en dessous de la taille, ce qui ne les empêche nullement d'épouser deux sueurs et de vivre jusqu'à 63 ans.

     

    Le jumeau de J. J. Libera se présente comme un corps atrophié qui lui sort directement de la poitrine. Pourtant, Libera se marie et a quatre enfants, tout comme Franck Lantini, encore un Italien, qui contrôle parfaitement ses trois jambes de taille pratiquement identique, la surnuméraire étant tout ce qui subsiste de son jumeau.


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  • Les lignes électriques traversant le hameau de Fishpond Bottom, dans le Dorset, l'ont-elles transformé en « laboratoire de plein air » ?

    Et les habitants sont-ils devenus des cobayes involontaires d'une expérience que personne ne contrôle ni ne comprend ?

    Le hameau de Fishpond Bottom (40 hab.), situé dans une superbe vallée de la côte ouest du Dorset, au sud de l'Angleterre, pa raît être un endroit idéal pour une vie tranquille et saine. Il n'en est rien, cependant.

    Depuis le début des années soixante-dix, il est l'objet de mystères plus déroutants que ceux d'Agatha Christie. Il y eut six morts subites, et de nombreux incidents déplaisants.
    Les habitants du coin ont une idée certaine du « coupable », mais les autorités font la sourde oreille à leurs accusations.


    Malaises et accidents à répétition

    Mrs. Hilary Bacon fut une des premières victimes. Elle commença à se sentir mal après quelques heures passées dans la maison de Fishpond où elle venait de s'installer en 1973. Ses yeux lui faisaient mal, elle perdit la voix et se sentit complètement épuisée, faits qu'elle attribua au déménagement. Mais les choses empirèrent. Elle souffrit de migraines soudaines et de bouffées de tension nerveuse suivies de dépression ou d'irritabilité.

    Elle dormait mal, se réveillant souvent au milieu de la nuit en sursaut. Puis, un beau jour, elle subit une expérience des plus alarmantes.
    «J'étais sortie pour biner les brocolis et, en me baissant, j'eus une sensation tout à fait extraordinaire. C'était comme si toute la lumière virait au noir. Je perdis complètement le sens de l'orientation, je ne savais plus où j'étais ni où étaient les brocolis. Ce n'était pas un évanouissement, mais quelque chose de tout à fait différent et plutôt effrayant. »
    Elle apprit bientôt que d'autres villageois avaient éprouvé les mêmes alarmes, également sans pouvoir se l'expliquer.

    Un ouvrier agricole s'était retrouvé dans le noir au sommet d'un char de foin en marche. Son propre fils avait lui aussi perdu conscience en roulant en scooter. Il ne fut pas blessé, mais un autre motard s'était cassé plusieurs côtes dans un accident à la suite d'une perte soudaine de la vision et de l'orientation.

     

    Il ne fallut pas longtemps aux habitants de Fishpond pour suspecter que les incidents avaient quelque chose à voir avec leur entourage familier : un rang de pylônes traversant la vallée en charriant des lignes électriques de 400 kilovolts droit au-dessus de leurs têtes.

    Les lignes, dont la construction avait commencé en 1965, avait tout de suite causé des problèmes : elles faisaient entendre un gémissement agaçant dès qu'il y avait un peu de vent, et des étincelles bleues ou rouges y apparaissaient quelquefois. Une vache avait été tuée et un taureau grièvement brûlé par un « flash », sorte d'éclair artificiel produit par les lignes. Il y eut également une victime humaine : un fermier, convoyant des tuyaux brisés par le gel, fut électrocuté quand l'électricité jaillit des fils jusqu'aux tuyaux et se concentra dans son corps.

     

     L'investigation d'Hilary Bacon

    Les habitants de Fishpond Bottom pensaient déjà que ces lignes étaient hideuses et nocives, mais pas forcément au point d'exercer une influence permanente sur ceux qui vivaient auprès. Puis Eustache et Kathleen Yeomans, un retraité du bâtiment et sa femme, furent alertés par cette possibilité. Ils réalisèrent soudain que trop de leurs voisins tombaient malades ou étaient victimes d'accidents mystérieux. Avec l'aide d'Hilary Bacon, le couple commença à investiguer.


    Ils apprirent bientôt qu'une ligne à haute tension fait plus que charrier l'électricité de la centrale jusqu'aux consommateurs, elle crée aussi un champ électromagnétique tout au long de son parcours. La force du champ fluctue rapidement, montant et baissant alternativement. Quand le champ est à son point culminant, il crée une ionisation positive des molécules d'air environnantes.
    Quand le vent souffle, la ligne entière bouge, ce qui amène le champ oscillant à des fréquences extrêmement basses (en anglais E.L.F.) et fait aussi " chanter "les fils comme des cordes de piano monstrueuses, à l'extrémité la plus basse du champ acoustique.


    Les gens de Fishpond étaient exposés inconsciemment à trois facteurs au moins, tous connus pour être potentiellement dangereux : la ionisation positive de l'air, les sons à basse fréquence et le champ magnétique E.L.F. Le bureau central de l'énergie électrique (C.E.G.B.) récusa la validité des recherches d'Hilary Bacon, bien qu'elle eût amassé une copieuse littérature scientifique pour étayer ses dires. A un meeting public tenu à Fishpond Bottom en 1976 à la demande du député, Jim Spicer, sept officiels de la C.E.G.B. intervinrent pour dire qu'il n'y avait aucune preuve que les lignes à haute tension puissent nuire à quiconque. « Ils nous ont traités comme des enfants », dit plus tard un habitant de Fishpond, dégoûté.

     

     La Vie sous les lignes à haute tension

    Le premier d'une série de savants indépendants à prendre un intérêt sérieux et compatissant aux ennuis des villageois fut le professeur John G. Taylor du King's College de Londres. Il questionna 21 personnes sur les 28 qui vivaient à moins de 100 m des lignes, et recueillit un vaste ensemble de symptômes dont certains avaient été assez graves pour nécessiter le traitement des spécialistes.

    Parmi ces symptômes, on trouvait la dépression, des troubles cardiaques et urogénitaux, des éruptions cutanées, des palpitations cardiaques et des malaises généralisés, spécialement par temps humide ou venteux. « C'est comme d'être pris dans un filet », dit un des résidents à Taylor.

    Un autre dit qu'il lui semblait parfois « qu'il y avait un mur entre ses pensées et lui ». Le professeur Taylor nota que quelques-uns de ces symptômes étaient identiques à ceux causés par une excessive ionisation de l'air et, dans un article intitulé La Vie sous les lignes à haute tension, paru dans Psychoenergetic systems (1979), il évoqua la nécessité d'une étude à long terme du cas Fishpond.

    Sa suggestion resta sans effet, et, finalement, Eustache et Kathleen Yeomans décidèrent qu'ils en avaient assez fait. Ils vendirent leur maison à un ingénieur électricien, en lui expliquant bien franchement pourquoi ils partaient. L'ingénieur démentit leurs craintes comme ridicules. Deux ans après, il mourut d'une crise cardiaque soudaine.

     

     Le cauchemar continue

    Les Yeomans étaient à peine installés dans leur nouvelle maison de Cotswold quand ils apprirent que la C.E.G.B. envisageait de construire une ligne à haute tension de 400 kilovolts qui passerait près de plusieurs maisons du village d'Innsworth.

    Bien que non concernés eux-mêmes, ils se sentirent obligés d'avertir les gens d'Innsworth de ce qui se tramait. En conséquence de quoi, une enquête publique fut lancée en 1978 et attira l'attention des médias. Des rapports survinrent de tous les coins de la Grande-Bretagne, indiquant que les gens de Fishpond n'étaient pas les seuls dans leur cas. L'évidence que les lignes à haute tension pouvaient être mauvaises pour la santé commença à faire son chemin aussi bien dans la littérature scientifique que dans la presse populaire fort intéressée par cette affaire.

    En 1980, l'Association d'études sur l'inégalité dans la santé publia ses conclusions sur le pourcentage de morts par milliers d'hommes de quinze à soixante-quatre ans dans 24 différents environnements. Le taux le plus bas fut parmi les professeurs d'universités - à 2,87 - et le plus haut - près de dix fois plus, puisque le chiffre était 19,04 - parmi les ingénieurs en électricité. Vers la même époque, la compagnie d'assurance maladie privée BUPA trouva, après avoir étudié 540 électriciens, qu'un tiers d'entre eux avaient des chances plus ou moins grandes d'avoir des maladies de coeur dans un futur proche. Ceci fut plus de deux fois le taux que l'on attendait.

    Cette évidence toute neuve que la vie sous les lignes à haute tension pouvait avoir des conséquences fatales intéressa au plus point les villageois de Fishpond.

     

     Suicide et électricité

    En 1981, le docteur F. Stephen Perry, généraliste d'Albrighton dans le Staffordshire, et trois collègues
    américains relatèrent dans Health Physics, le journal officiel de la Société d'étude la santé, qu'ils avaient trouvé une corrélation significative entre le suicide et l'électrité à haut voltage : « D'une manière très nette, il survient plus de suicides qu'ailleurs dans les zones à champ magnétique plus élevé. » Leur découverte, inquiétante et controversée, fut plus tard contrôlée par des savants de l'université de Salford, et pleinement confirmée.

    Des chercheurs indépendants intéressés par les effets dangereux des lignes à haute tension continuent à visiter Fishpond, en dépit des démentis réguliers des officiels de la C.E.G.B., qui continuent à soutenir que ces effets n'existent pas. Le docteur Hawkins de l'université du Surrey découvrit que l'endroit était très proche de l'exemple d'ionisation positive maximale. « Des vents à ras du sol, dit-il, peuvent, en théorie, produire d'énormes quantités d'ions positifs dont on sait qu'ils ont une importance biologique, bien que le processus demeure obscur.

    Selon lui : « Il y a une très forte évidence scientifique que les symptômes relatés par les gens de Fishpond soient causés, ou tout au moins aggravés, par les lignes à haute tension qui les dominent. » Le docteur David Smith, du collège universitaire des Galles du Nord, fit plusieurs visites à Fishpond en 1980, à ses frais, pour mesurer les champs magnétiques et électriques locaux.

    Il découvrit que le second était acceptable dans certaines limites, mais que, pour le champ magnétique, mesuré en microgauss, c'était une autre histoire. A l'intérieur et aux alentours de la maison d'Hilary Bacon, on trouvait 1 000 microgauss, ce qui fut noté comme « très haut » par le docteur Perry. Et ces taux magnétiques étaient huit fois plus élevés dans le jardin, sous les lignes, qu'à l'intérieur.

    L'électricité est-elle bonne ou mauvaise pour les humains ?

     L'électricté est-elle nocive pour l'homme ?

    Les faits semblent contradictoires. Un praticien de médecine douce, Harry Oldfield, explique comment on peut l'utiliser avec un succès apparent pour diagnostiquer et traiter un certain nombre d'af fections. Mais un nombre croissant de chercheurs - sans parler de la population de Fishpond - sont convaincus que la présence d'une ligne à haute tension peut être responsable d'un grand nombre de symptômes, dont la plupart liés à la tension.

    Le docteur Andrew A. Marino, du Centre médical de l'université de l'État de New York, à Syracuse (États-Unis), qui a pris un vif intérêt à l'affaire de Fishpond, explique les faits ainsi : « Les cellules du corps sont en équilibre avec leur immédiat micro-environnement électrique. Certains chargements de ce micro-environnement se traduisent par des informations transmises aux cellules et capables de contrôler leur fonction. » Une masse de documents publiés, dont certains datent des années cinquante, viennent renforcer cette thèse.

    Un bon nombre sont dus teur Robert O. Becker. Les effets observés des champs magnétiques à fréquence extrêmement basse varient de l'altération du taux de reproduction des bactéries jusqu'à des interférences directes dans le cerveau humain, selon un processus appelé « bio-entraînement ».

    Quelques-uns des mécanismes impliqués sont graduellement découverts. Au début des années soixante-dix, une équipe dirigée par le docteur W. Ross Adey (maintenant à l'université de Loma Linda en Californie) démontra que les champs électromagnétiques chargés d'E.L.F. influençaient l'évacuation du calcium par les cellules. Ceci veut dire que ce processus chimique, qui a d'innombrables effets biologiques, peut être influencé par l'électricité produite artificiellement.

    Mais de nombreuses questions demeurent sans réponse. Ces effets dépendent-ils de la fréquence, du taux de répétition, de l'intensité du champ ou d'une combinaison des trois ? Ou, comme le croient certains, surviennent-ils à la suite de changements soudains de ces paramètres ?

    Il commence à sembler probable que chaque organe de notre corps - jusqu'à la simple cellule elle-même - peut répondre à des stimuli électriques dont nous sommes rarement conscients, et que quelques-unes de ces réactions peuvent amener des complications majeures. Un champ de recherches neuf s'est ouvert, bien qu'encore peu exploré.

    Le système d'un être vivant est électrique aussi bien que biochimique. Nous avons évolué au cours des âges dans un océan d'ions naturels créés dans l'atmosphère, en général par le Soleil et les décharges régulières de lumière qui, dans l'opinion de certains chercheurs, ont créé la vie sur la Terre aux premiers âges. Nous commençons seulement à comprendre quelques-unes des conséquences de notre interférence récente dans cet environnement naturel.

    Fishpond Bottom est peut-être un cas extrême. Il semble que la combinaison du site naturel et de ses apports artificiels - pylônes et lignes à haute tension - ait créé un laboratoire en plein air et fait de ses habitants des cobayes malgré eux, spécialement pour vingt-huit d'entre eux, qui se trouvent à proximité des lignes. Ils ont pris part à une expérience sinistre depuis 1972, attendant avec résignation que quelqu'un s'occupe enfin de leur cas.


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  • Nous connaissons bien les objets volants non identifiés ou ovnis. De nombreuses observations ont été faites depuis la nuit des temps.
    Par contre, nous parlons beaucoup moins d’engins sous-marins mystérieux que l’on pourrait baptiser osnis.
    Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les forces navales du monde entier ont fréquemment relevés la présence d’engins sous-marins dont les performances sont bien supérieures à tout ce qu’elles possèdent elles-mêmes.
    Ces engins non identifiés semblent se cantonner dans des lieux particuliers de la planète, dont notamment les eaux scandinaves et la côte est de l’Amérique du Sud.



    Performances des objets

    Tout d’abord, il faut préciser que de nombreux engins non rien de mystérieux. Les grandes puissances passent leur temps à s’espionner et beaucoup d’osnis ne sont sans doute que des sous-marins soviétiques ou américains.

    Par contre, certains témoignages sont vraiment troublants. Effectivement, certaines performances et comportements de ces osnis excèdent largement ceux des marines traditionnelles.
    On retrouve donc le même cas de figure entre les performances de notre flotte aérienne et celles de certains ovnis.

    Au début de 1985, la France lança le Nautile, sous-marin de recherche capable de descendre à 6 000 m et possédant des vitesses de montée et de descente élevées (1 m/s).
    Il s’agit d’un sous-marin de poche qui participe à de multiples campagnes françaises et internationales d’exploration des grands fonds sous-marins.

    Mise à l'eau du submersible de l'IFREMER le Nautile, en 1996. L'expédition visait à remonter des pièces de l'épave du Titanic échouée à 3 870 m de fond

    Le premier sous-marin nucléaire d’attaque français, le Rubis, a été lancé en 1979. Long de 72 m, large de 7,6 m, il déplace 2 400 t en surface et progresse en plongée à la vitesse de 25 nœuds (46 km/h).

    L’un des records de plongée pour un sous-marin normal est de 1 900 mètres.

    On peut constater que les osnis ont des performances très supérieures. Par exemple, pendant les manœuvres en Atlantique Nord de 1963, le porte-avion américain Wasp et douze autres vaisseaux détectèrent un engin énorme voyageant sous l’eau à 150 nœuds (280 km/h). Il les accompagna quatre jours, manoeuvrant au milieu d’eux et plongeant parfois à des profondeurs de 8 000 mètres. A cette époque, aucun submersible ne pouvait descendre à une telle profondeur et aller aussi vite ; c’est d’ailleurs toujours valable aujourd’hui malgré les progrès technologiques.

     

    Quelques exemples

    En 1978, il y eut une vague d’osnis en Italie. Plus de 500 rapports furent recueillis. Le long des côtes de l’Adriatique, la liste des phénomènes inexpliqués comprenait des colonnes d’eau s’élevant à 30 m par mer calme, des lumières rouges et blanches suivant les bateaux de pêche la nuit, des osnis sur ou sous la surface de l’eau, émergeant et plongeant en produisant des interférences électriques sur les radars, radios et télévisions.
    Les pêcheurs finirent par exiger une protection militaire pour sortir en mer.

    Le 1er août 1962, à 23 heures, trois pêcheurs français du port de Brusc, en Méditerranée, virent un long engin métallique qui se déplaçait à la surface de l’eau.
    Ils pensèrent que c’était un sous-marin. Puis, l’eau se mit à bouillonner autour de l’engin et une douzaine d’hommes-grenouilles émergèrent.
    Les pêcheurs les interpellèrent mais aucun ne répondit puis le dernier se tourna vers eux et les salua. Jusque là, rien d’extraordinaire.
    Seulement les pêcheurs ahuris virent l’engin s’élever, des lumières clignotèrent et l’étrange sous-marin accéléra pour ne plus devenir qu’un point lumineux dans le ciel.

    De telles activités ont été relevées un peu partout. Si l’on trie tous les rapports et que l’on retire les erreurs et les canulars, il reste des phénomènes inexpliqués.
    En avril 1967, deux jeunes danois virent un engin lâcher plusieurs objets dans le Kattegat, à 80 km au nord-est de Copenhague. Ceux que l’on récupéra se révélèrent, à l’analyse, composés de chaux et de « charbon non organique » mélangés à une matière totalement inconnue.
    Il est bien sûr impossible de citer tous les rapports. Par contre, il semble que de nombreux gouvernements aient porté un vif intérêt à toutes ces activités sous-marines. Ce qu’ils ont appris du matériel repêché depuis 60 ans demeure inconnu.

     

     D’où viennent ces osnis ?

    Autant préciser tout de suite qu’il n’existe aucune théorie scientifique à tous ces phénomènes. Par objectivité, je cite les thèses de quelques ufologues, qui personnellement ne m’ont pas convaincues. Mais, je vous laisse juge.

    En 1970, Ivan T. Sanderson, biologiste et fondateur de la Société pour l’investigation de l’inexpliqué, a publié un livre sur les « Résidents Invisibles ». Il y expose quelques cas analogues à ceux qui sont cité dans ce dossier.
    Il suggère que, sous les océans, vit une race plus vieille que l’humanité. En avance sur le genre humain, ils ont développé une technologie qui leur permet des exploits comme les voyages interstellaires.
    Pour l’auteur, les ovnis sont également leur création. Cette « race » dériverait des formes de vie qui ne quittèrent pas la mer pour évoluer. 

    Le Sognefjord, en Norvège, a été le théâtre d'une chasseà l'osni en 1972, infructueuse malgré les énormes moyens techniques

    De son côté, l’ufologue John Keel avance « qu’une force aéronavale clandestine opère sur cette planète ». Il suppose que ces bases sous-marines se situent près du cercle polaire.

    D’autres ufologues sont persuadés que des engins venus d’autres mondes ont établi des bases sous-marines sur Terre.

    Une chose est certaine, les mers et océans sont encore un monde inconnu et nul ne sait vraiment ce qui se cache dans les plus grandes profondeurs.


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  • La Chimère est un monstre femelle à l’apparence terrifiante. Elle possède une tête et un corps de lion, une tête de chèvre sur le dos et une queue à tête de serpent. Comme le dragon, elle crache des flammes. 

    La Chimère répandait la terreur, notamment dans la Turquie actuelle.

    Ce monstre serait le fruit de l’union d’Echidna (la vipère) avec le géant Typhon. La Chimère est tuée par Bellérophon qui réussit à apprivoiser Pégase, le cheval ailé.

     
    Comme il ne peut l’approcher, à cause des flammes qu’elle crache, il la transperce de flèches de plomb.
    Au contact de sa chair enflammée, le métal fond en elle et la consume.

    Le mot « chimère » est resté dans notre vocabulaire pour désigner une illusion ou un projet utopique. Peut-être en référence à l’apparence de la Chimère qui était composée de plusieurs attributs empruntés à des animaux différents, ce qui est bien sur impossible.


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  • Dans la mythologie grecque, les Cyclopes sont des géants dotés d'un seul oeil au milieu du front.
    Les premiers Cyclopes (Cyclopes ouraniens) étaient fils d'Ouranos, le dieu du ciel, et de Gaia, la déesse de la terre. Craignant que ses fils ne lui prennent son pouvoir, Ouranos les refoula dans le ventre de leur mère (la terre).


    On distingue quatre sortes de cyclopes :


    Cyclopes ouraniens                   Cyclopes forgerons

    Cyclopes bâtisseurs                  Cyclopes pasteurs

    Après que le Titan Cronos eut détrôné son père Ouranos, les Titans connurent une brève période de liberté, mais furent bientôt emprisonnés dans le Tartare, la partie la plus sinistre du monde souterrain.
    C'est Zeus, le fils de Cronos, qui les délivra. Zeus et ses frères avaient en effet besoin de leur soutien dans la lutte qu'ils avaient engagé contre Cronos et les autres Titans.

    Grâce notamment aux Cyclopes, Zeus et ses frères remportèrent la victoire. Pour remercier Zeus de les avoir libérés, les Cyclopes lui forgèrent des éclairs foudroyants, ainsi que le trident de Poséidon et, pour Hadès, dieu du monde souterrain, un casque qui le rendait invisible.


    Les trois Cyclopes qui permirent à Zeus de remporter la victoire prirent les noms suivants :

     

    Argès « l’éclair »

    Stéropês « la foudre »

    Brontês « le tonnerre »

    Ces trois Cyclopes furent tués plus tard par Apollon car il leur reprochait d’avoir fourni à Zeus la foudre avec laquelle le dieu suprême tua Asclépios, fils d’Apollon.

    Les cyclopes forgerons sont les aides d’Héphaïstos, dieu boiteux de l’artisanat, du feu et de la métallurgie (Vulcain pour les Romains).
    Cet habile forgeron était censé avoir élu domicile sur l’île volcanique de Lemnos. Plus tard les Romains, le situèrent au cœur du volcan de l’Etna, en Sicile.
    Les Cyclopes forgerons travaillent l’airain afin de fabriquer l’armure des dieux et des héros. Parmi ces Cyclopes, les plus célèbres sont Pyracmon « l’enclume » et Acamas « l’infatigable ».
    Durant toute l'Antiquité, les Cyclopes gardèrent cette image d'habiles techniciens au service d'Héphaïstos.

     

     Les Cyclopes bâtisseurs sont censés avoir édifiés les « murailles cyclopéennes » de Mycènes et Tirynthe.

    Dans l'Odyssée, Homère présente une image très différente des Cyclopes. Lors de son éprouvant voyage de retour après la chute de Troie, Ulysse débarque sur une île habitée par les Cyclopes, probablement la Sicile.
    Ceux-ci sont décrits comme « des brutes sans foi ni lois ». Ils élèvent des troupeaux de moutons.
    Dépourvus de toute capacité technique, ces géants sont ici des bergers primitifs qui n’hésitent pas à dévorer les hommes qui pénètrent sur leur territoire.

    Le Cyclope Polyphème, fils du dieu de la mer, Poséidon, commence par dévorer six des compagnons d'Ulysse et garde les autres enfermés dans une caverne afin de les manger plus tard. Mais Ulysse, qui a dit à Polyphème qu'il s'appelait « Personne », réussit à enivrer le monstre et à lui crever son oeil unique à l'aide d'un pieu enflammé. Alertés par les hurlements de Polyphème, les autres Cyclopes entendent ce dernier leur dire que c'est « Personne » qui l'a frappé: ils en concluent que Polyphème est devenu fou, et Ulysse parvient à s'échapper avec ses hommes en s'accrochant à la laine des moutons du Cyclope.

    Les Cyclopes anthropophages d'Homère semblent avoir été les modèles de ces terrifiants géants qui ont peuplé depuis d'innombrables contes de fées et de livres pour enfants.


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